Les leçons très particulières d’Annie avec une Domina

Les leçons très particulières d’Annie avec une Domina

Issue d’une famille aisée, tous les enfants ont appris à jouer d’un instrument de musique. Dès mon plus jeune âge mes parents m’ont fait apprendre la musique. Comme dans beaucoup de familles, c’est le piano qui a été choisi. Après plus de dix années de pratique intensive, j’ai acquis un bon niveau mais je n’en ferai jamais qu’un loisir très agréable autant pour moi que pour mon cercle d’amis.

Cela ne m’empêche pas de continuer à prendre des leçons afin de bien maîtriser les nouveaux morceaux classiques ou récents que j’inscris à mon répertoire tout en faisant mes études d’infirmière. Depuis que j’ai dix huit ans, j’ai un nouveau professeur car mes horaires étaient devenus incompatibles avec mon ancien maître.

Pour une fois, c’est une femme. Elle est particulièrement sévère. Elle ne laisse rien passer en ce qui concerne la pratique instrumentale mais c’est sur l’attitude devant l’instrument qu’elle est encore plus intraitable. Elle dit en effet que la posture dénote un état d’esprit et qu’une attitude négligée où on perçoit le laisser-aller, ne peut pas permettre d’interpréter correctement ce que l’on joue. Pour battre la mesure, elle utilise une badine de jonc mais elle de sert pas qu’à cela.

Dans les premiers mois passés avec elle, combien de coups de cette badine j’ai pu recevoir sur les épaules parce que je me tenais voutée ou au creux des reins parce que je ne les creusais pas assez à son gout en comprimant mes abdominaux.

Deux années plus tard, j’en reçois encore de temps à autre, surtout quand après une journée cours ou de stage et une heure de travail intensif devant le clavier, j’ai tendance à me relâcher.

Mais le sommet a été atteint lors d’une de mes dernières séances. Au cours de ce weekend prolongé du mois de mai, nous avions fait la fête avec une bande de copains et copines. Gonzague, mon chéri du moment m’avait fait l’amour plusieurs fois au cours de la nuit. Il m’avait même sodomisée pour la première fois sans préparation, à sec comme il m’a dit. Je me sentais toute endolorie.

Je ne savais comment me tenir assise et pour tenter de trouver la position la meilleure sur mon tabouret de piano, je ne cessais de me trémousser. Après plusieurs coups de badine bien sentis qui n’ont rien changé, je me suis fait rabrouer sèchement par ma professeure. Elle m’a reproché de ne pas être à ce que je faisais, que faire la fête et baiser toute la nuit n’était pas digne de moi. Bref, elle m’a abreuvée de reproches, certainement justifiées à ses yeux. Je ne l’avais jamais entendue parler aussi crument, le mot « baiser » dans sa bouche m’a surprise.

Mais je n’étais pas au bout de mes découvertes. Elle m’a dit qu’elle allait me montrer comment son mentor l’avait corrigée de ses mauvaises postures.

Elle s’est absentée du salon de musique quelques minutes et elle est revenue avec un tabouret de piano très original. Au centre du coussin recouvert de velours se dressait un sexe masculin en matière souple. Elle le posa devant l’instrument en me disant sèchement :

  • Baisse ta culotte et assois-toi dessus !

Surprise, je n’osais bouger. Un coup de badine appliqué rudement sur mes fesses m’a immédiatement fait obéir. J’ai fait glisser mon string pour l’ôter et j’ai enjambé le tabouret en m’asseyant de façon à ce que le sexe factice glisse devant ma vulve. Quand elle a relevé ma courte jupe, elle s’est exclamée :

  • Tricheuse, ce n’est pas comme cela qu’il faut se mettre ! Le gode doit être dans ta chatte et pas devant si tu veux ne plus bouger ! Il doit être bien ancré au fond de ton sexe…

Je changeai ma position en me soulevant jusqu’à ce que le gland soit au contact de mon vagin. Surprise et excitée par le tour sexuel que prenait la leçon, j’étais lubrifiée. Je me laissai pénétrer en m’abaissant lentement jusqu’à ce que mes fesses reposent véritablement sur le coussin :

  • Voila, comme cela tu ne bougeras plus ton cul !

Le gode m’emplissait totalement la chatte et je sentais mon petit trou se déplisser au contact du velours. Humm, que c’était bon ! Ma leçon reprit, sans bouger et dans une posture irréprochable, j’interprétai mon nouveau morceau sans aucune faute ni observation de ma professeure.

En me disant que c’était terminé pour ce jour, Annie vint se placer derrière moi en posant ses mains sur mes épaules légèrement dénudées par ma robe d’été légère. Je sentais le contact de son ventre contre mes omoplates. Elle a ensuite laissé glisser ses mains dans le décolleté de ma robe et venir masser mes seins de sa paume par-dessus la dentelle de mon soutien gorge. Je ne savais plus où j’en étais. J’avais déjà eu des relations saphiques avec des camarades de mon âge, mais avec une femme d’environ 40 ans… jamais ! Elle a ressorti ses mains pour les placer sous mes aisselles et imprimer à mon corps un mouvement de bas en haut qui faisait aller et venir le sexe factice dans mon vagin.

C’était bon, j’avais le corps en fusion tellement les sensations étaient fortes. Alors que je ne m’y attendais pas la jouissance m’a envahie et je me suis embrochée le plus possible sur le gode pour bien le sentir au fond de moi. Ma professeure m’a fait me lever, me retourner face à elle et elle m’a enlacée, cherchant mes lèvres pour un baiser langoureux. Nous nous sommes embrassées ainsi quelques longues minutes jusqu’à en perdre le souffle.

  • Viens, nous serons mieux dans la chambre !

Autant le salon de musique était austère et fonctionnel, autant sa chambre ressemblait à un boudoir avec un lit immense, des coussins à profusion, des miroirs et, plein de gravures licencieuses encadrées, mettant en scène des groupes de femmes à moitié nues.

Elle m’a enlacée à nouveau pour m’embrasser et faire descendre la glissière de ma robe. Je me retrouvais en soutien gorge, mon string était resté dans le salon de musique. Rapidement elle fut dans la même tenue que moi et en m’allongeant sur le lit, elle fit sauter l’agrafe de mon soutif.

Descendant entre mes cuisses ouvertes, elle est venue lécher la cyprine qui s’écoulait de ma chatte, titiller de sa langue mon bourgeon d’amour. Sous ces caresses, je passais par des alternatives de chaleur et de frissons, je sentais les pointes de mes seins durcir. J’avais encore envie de jouir ! Et cela ne tarda pas. Une nouvelle vague de jouissance m’emporta.

Annie est venue se placer tête-bêche au dessus de moi. Je savais quoi faire. J’avais sous mes yeux sa vulve aux grandes lèvres larges et découpées, percées et pourvues de petits anneaux dorés. Son nombril était percé aussi et orné d’un chapelet de petits strass.

Je n’aurais jamais imaginé découvrir cela chez ma professeure. Elle trompait bien son monde avec ses vêtements plutôt austères et son allure sérieuse. Je mis mes mains sur le haut de ses fesses et je levai ma bouche jusqu’à sa vulve. Je dardai ma langue entre ses petites lèvres en remontant jusqu’au clitoris qui était sorti de son capuchon. Waouh, je n’en n’avais jamais vu un aussi gros, plus gros qu’une belle noisette et très saillant. Je pouvais presque le prendre en entier entre mes lèvres tellement il était sorti. Je ne me privai pas de le sucer longuement tout en introduisant deux doigts dans le vagin comme une bite de petite taille.

Ces derniers n’ont pas tardés à être inondés de mouille. Annie me gratifiait des mêmes caresses. Je sentais que j’allais partir encore une fois et je retenais ma jouissance. Dans un râle profond Annie exhala son plaisir et je me lâchai à mon tour, emportée dans un tourbillon de sensations qui partait de mon sexe et montait le long de ma colonne vertébrale.

Ce soir là (et la nuit qui suivit), je ne suis pas rentrée chez moi à l’internat. Ce fut une nuit de débauche comme je n’en n’avais jamais connue.

Pour ma dernière répétition de l’année, j’ai réclamé le tabouret spécial pour terminer mon heure de cours. Annie est allée le chercher dans la chambre. Pendant ce temps, j’ai fait glisser mon string. J’étais prête à m’empaler au plus profond. Le sexe factice était amovible. Annie avait remplacé le gode de la première fois par un plus fin relié par un fil à une télécommande. Je le fis glisser dans ma chatte bien lubrifiée par l’envie et j’interprétai le prélude étudié ces dernières semaines sans aucune faute.

Je venais de plaquer l’accord final quand soudain j’ai senti les vibrations du gode se propager dans mon vagin. Que c’était bon. De moi-même, j’ai commencé le mouvement de va-et-vient, sortant parfois complètement le sexe factice de mon vagin. Annie était derrière moi. Comme la première fois, je sentais son ventre contre mon dos.

  • Attention, je vais te faire goûter autre chose ! Laisse-toi guider !

Annie me prit par la taille et elle mit le gland factice à l’entrée de mon œillet plissé. Depuis que Gonzague m’avait sodomisé une première fois, mon cul était resté en l’état. Doucement Annie me laissa descendre, je sentis mon anneau plissé s’ouvrir et le gode pénétrer jusqu’à ce que mes fesses s’écrasent sur le velours. Les vibrations reprirent pendant qu’Annie caressait mes seins par-dessus ma robe.

Quelles sensations merveilleuses. Ma jouissance est arrivée, brutale et immense, me laissant pantelante entre les bras de ma professeure. Elle m’a aidé à me désunir et nous avons gagné sa chambre où son lit a été le témoin de nos étreintes qui ont duré des heures. Désormais, Annie me domine complètement : je suis sa chose ! Elle n’hésite plus à inviter quelqu’une de ses amies pour des trios lesbiens particulièrement chauds au cours desquels nous nous livrons à la débauche la plus complète.

J’ai goûté la cyprine d’Annie mélangée à du champagne qu’elle avait introduit dans sa chatte, j’ai sodomisé une de ses amies avec un gode ceinture dont j’ai également bénéficié un jour où j’étais particulièrement excitée. Annie était couchée sous moi, tête-bêche et me léchait la chatte pendant que son amie Caroline me sodomisait à longs traits…

Humm, qu’est-ce que nous avons joui cette nuit là !

Prochainement je dois l’accompagner dans une soirée de BDSM au cours de laquelle je découvrirai selon elle, des plaisirs nouveaux… : J’ai hâte !

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