Autostop… et plus si affinités.

covoiturage libertin

Le covoiturage libertin profite à fond du boom du covoiturage classique. Quand un jeune et séduisant autostoppeur se fait prendre par une belle quadra qui exerce la profession de camionneur, la température devient vite torride dans la cabine…

Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé cet été quand je rejoignais le Cap d’Agde pour la saison estivale. A 26 ans, je suis titulaire d’un brevet professionnel de barman et depuis plusieurs années déjà, je fais les saisons en hiver à la montagne et en été au bord de la mer…

En dehors des saisons, je fais des remplacements à la demande dans diverses brasseries à Paris ou alors je suis embauché pour des prestations ponctuelles par divers traiteurs qui me connaissent bien.

Au début du mois de juin, j’avais pris contact avec une société qui met en relation des personnes qui cherchent à faire un peu d’argent en proposant du covoiturage libertin. Je n’avais trouvé qu’une personne qui se rendait de Paris à Avignon le second weekend du mois de juin… Cela me convenait tout à fait et je verrais bien ensuite si je trouvais quelqu’un pour aller plus loin ou prendre le train… Cela ferait toujours une petite économie avant de démarrer la saison d’été.

Comme je n’avais rendez-vous avec le patron d’une des brasseries du village naturiste que le lundi en fin de matinée, j’avais tout mon temps… José, mon pilote m’a déposé sur l’aire de service de Lançon de Provence d’où j’ai fait du stop (au lieu du covoiturage libertin)… J’avais préparé un panonceau indiquant « PERPIGNAN » et je me suis installé près de la sortie de l’aire, endroit stratégique que j’avais déjà maintes fois expérimenté. Au petit jour, c’était l’heure propice… et je pensais bien trouver une voiture assez rapidement mais rares étaient celles qui avaient de la place disponible. En fait c’est dans la cabine d’un camion que j’ai fait le reste du trajet…

J’ai été tout surpris lorsqu’un semi remorque s’est arrêté à ma hauteur et que la portière du côté droit s’est ouverte sur une voie féminine qui m’a dit avec un fort accent espagnol :

  • Monte, beau jeune homme, tu vas me tenir compagnie…

Quelle aubaine… En plus cette femme que je découvrais derrière son volant me qualifiait de « beau » alors que je me trouve plutôt banal… En effet, je mesure à peine 1.70 m, j’ai le teint mat de par mes parents originaires d’Italie… Je porte un fin collier de barbe noire et une petite moustache. De corpulence assez mince, je ne fais pas de complexe mais j’estime être assez quelconque…

  • Monte vite, on gêne… Je m’appelle Juanita !
  • Enchanté… Moi, c’est Alan !

Waouh… Moi qui m’attendais à me trouver face à une femme charpentée, taillée un peu comme un homme, je me suis trouvé face à une jeune femme très féminine avec de grands yeux noirs pétillants de malice… Son visage à l’ovale parfait était encadré de cheveux noirs mi longs légèrement ondulés. La bouche pulpeuse était soulignée d’un rouge discret. Ses avant bras dégagés par les manches retroussée de sa chemise de trappeur étaient fins et les ongles des mains courts mais soignés… Je ne m’attendais pas à trouver une aussi jolie fille au volant d’un 40 tonnes qu’elle maniait de main de maître… En plus, elle sentait le frais, un peu comme si elle sortait de la douche…

Nous avons fait connaissance et bientôt nous bavardions comme deux vieux amis qui se rencontraient après une longue séparation… Lorsque je la félicitais pour la maîtrise de son engin, elle m’a répondu que depuis qu’elle avait une dizaine d’années elle s’était toujours passionnée pour les sports mécaniques… Toute jeune elle avait fait du quad, de la moto tout terrain et dès qu’elle avait pu conduire une voiture elle avait voulu aller plus loin en conduisant des véhicules de plus en plus gros… Pour elle, c’était facile car son père possédait une entreprise de transports avec une multitude de camions qui, à longueur d’année faisaient la route de l’Espagne vers l’Europe du nord… C’est donc tout naturellement qu’elle en était venue à exercer ce métier… Elle aimait la liberté et les choses qui se déroulaient naturellement… et surtout n’avait pas peur des hommes qu’elle côtoyait quotidiennement… A bientôt 30 ans, elle ne se laissait pas marcher sur les pieds !

Nous avions roulé un peu plus de deux heures quand Juanita a engagé son camion sur la bretelle d’une aire de service en disant :

  • Pour l’instant… marre de conduire… un bon café nous fera du bien…

Après avoir garé difficilement son engin car il y avait foule sur les parkings, nous sommes revenus vers la cafétéria où je lui ai offert le café et les croissants… Nous avons continué de parler et Juanita m’a demandé où j’allais exactement à Perpignan… Elle y avait des cousins éloignés qu’elle pourrait aller saluer après m’avoir déposé.

  • Non… en fait ce n’est pas à Perpignan que je vais… Je m’arrête avant… je suis embauché dans une brasserie du Cap d’Agde…
  • Oh… Le Cap et ses nudistes ! Tu vas te rincer l’œil… Coquin !
  • Sur… je pense qu’il y aura de jolies minettes comme toi !
  • Vilain flatteur…

Le court trajet à pied m’avait permis de détailler un peu plus Juanita… C’était un joli brin de femme… Si en haut elle portait cette chemise de trappeur ouverte sur un T-shirt, en bas, elle portait un jean ajusté qui lui moulait les fesses et des jambes fines terminées par des bottines avec un petit talon…

  • Non, je ne suis pas un flatteur… Quand je trouve jolie une femme, je lui dis ce que je pense… et je te trouve jolie !

Lorsque nous sommes remontés dans la cabine j’ai eu la surprise de voir Juanita fermer les rideaux pour occulter les vitres puis passer derrière les sièges et s’allonger sur la large couchette en me tendant les bras :

  • Viens, j’ai envie de me détendre… J’ai envie de baiser et… tu me plais bien…
  • Ok… J’arrive…

Que dire de plus ??? Le temps de contourner le siège passager, Juanita avait fait voler sa chemise et son t-shirt pour m’apparaître en soutien gorge couleur chair et se tortillait pour faire glisser son pantalon… Sa peau ambrée et mate luisait doucement dans la demi-pénombre de la cabine et j’ai senti mon désir se lever dans mon boxer… Allongée ainsi, offerte, Juanita me faisait envie… Mes habits ont eux aussi volé rapidement et je me suis allongé à côté d’elle pour la prendre dans mes bras… Nous nous sommes embrassés comme des furieux, nous chauffant mutuellement par des caresses de plus en plus torrides… En me tendant un préservatif Juanita m’a dit :

  • Prends-moi fort… Je suis en manque… ça fait plus d’un mois que je n’ai pas eu d’homme…

Je ne me suis pas fait prier… Pendant que je me couvrais, elle a fait sauter son soutif et glisser sa culotte pour m’apparaître entièrement nue… Je distinguais dans sa fourche une abondante toison noire que je me suis empressé de lisser du dos de la main… C’était chaud… Il ne m’a pas fallu chercher longtemps pour me glisser dans ce sexe accueillant… Dès que j’ai senti que j’étais bien placé, je l’ai éperonnée d’un coup sec… me plantant d’un seul trait au fond d’une grotte humide et chaude…

  • Ouiiiii ! Comme ça !!! Baise moi !!! FORT !!!

La pose était classique : Le missionnaire… mais Juanita était chaude comme la braise et moi aussi, j’étais quelque peu en manque car ma copine m’avait largué deux mois auparavant… J’ai alterné les mouvements, tantôt lents, tantôt vifs mais chaque fois j’allais au plus profond de ce sexe chaud que je devinais humide tant j’allais et venais facilement… Juanita m’encourageait de la voie en m’invitant à la prendre encore plus fort Je sentais que l’un et l’autre, nous n’allions pas tarder à jouir… Je me retenais, voulant partir en même temps qu’elle… Lorsqu’elle s’est tétanisée de jouissance, je me suis lâché, déversant une bonne dose de sperme au fond de la capote… Cela avait été intense… si bien que, après avoir basculé sur le côté, nous nous sommes quelque peu endormis dans les bras l’un de l’autre, mon sexe à peine sorti du sien… La fatigue de la route était là aussi… Malgré la douche qu’elle avait prise lors de son arrêt à l’aire de service où nous nous étions rencontrés, Juanita avait conduit toute la nuit et de mon côté, je n’avais pas beaucoup fermé l’œil avec mon compagnon de covoiturage…

Lorsque nous avons été pleinement réveillés elle s’est agenouillée sur la couchette et s’est étirée d’une manière très impudique, étirant ses bras au dessus de sa tête bombant le torse et son ventre. Je découvrais maintenant sa poitrine avec des seins ronds, pas très volumineux mais bombés comme un demi pamplemousse et bien fermes…, naturels.

Je pensais que nous allions en rester là, aussi ai-je été très surpris lorsque Juanita s’est penchée sur mon sexe encore tout gluant de mes sécrétions pour l’emboucher jusqu’au fond de sa gorge… Côté longueur, c’était assez facile car mon sexe n’est pas très long mais il est de bonne taille… Elle savait y faire car en moins de cinq minutes, mon mat était prêt à repartir pour un nouvel assaut. Avant de se mettre en position de levrette Juanita m’a dit en riant :

  • Je n’ai rien pour me graisser le sphincter anal ! Il faudra que tu te contentes de me prendre normalement !

Et ajoutant avec un regard coquin vers mon sexe :

  • Dommage pour moi, mon bel engin… tu es un peu trop gros pour me prendre à sec…

Cette jolie espagnole était aussi une adepte de la sodomie… Décidément elle avait un fort tempérament… Comme elle le demandait, je me suis placé entre ses cuisses et lui ouvrant les fesses d’une main, j’ai guidé mon sexe en elle lui disant :

  • Tu vas voir, je vais te baiser comme une salope…
  • Oui….C’est vrai… Je suis une salope… J’aime baiser… et je vais en profiter… Je préfère les mecs de passage comme toi que les rustauds que je rencontre sur la route… On a baisé… Adieu… on a passé un bon moment !

Pour bien la prendre, j’ai saisi sa taille entre mes mains et je l’ai copulée longuement en me retenant si bien que Juanita a joui deux fois avant que je me lâche aussi en nous écroulant l’un sur l’autre, repus de jouissance…

Quelques temps plus tard, nous reprenions la route et Juanita, faisant un léger détour m’a déposé au centre ville d’Agde…

Ecrit par le matou libertin

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