Un an déjà… mon filleul a un an… J’ai toujours aimé les femmes… généralement du même âge que moi mais depuis quelques temps, j’ai vieilli et désormais, mes conquêtes sont sensiblement plus jeunes, autour des 50 ans… parfois moins…
Après deux mariages qui malheureusement se sont terminés par un veuvage, je ne me suis plus attaché que d’une manière épisodique à des compagnes rencontrées en clubs échangistes ou sur des sites spécialisés de la toile. Cela ne m’empêche pas d’évoluer dans un groupe d’amis des deux sexes qui partagent mon goût pour le chant choral que nous pratiquons dans le cadre d’un groupe d’amateurs. Mais je n’aurais jamais imaginé qu’à près de 70 ans, j’aurais une aventure avec une jeune femme qui a la moitié de mon âge. Quand après les répétitions nous nous retrouvions autour d’un verre pour fêter un événement quelconque, nous n’échangions guère que des banalités sur nos milieux professionnels, nos soucis, professionnels ou familiaux, nos loisirs, nos envies. « Elle » était toujours accompagnée par celui qu’elle avait présenté comme son compagnon… un jeune bellâtre au teint basané (plus jeune qu’elle) qui ne cadrait pas avec sa beauté sereine de jeune femme en pleine maturité.
Elle l’avait convaincu de venir chanter avec nous. Puis pendant quelques mois, ils ont disparu de l’horizon… Personne ne semblait savoir ce qu’ils étaient devenus. Six mois étaient passés…
C’est d’une manière tout à fait fortuite que je rencontrai Agnès à la sortie de ma banque qui était aussi la sienne ! Elle avait l’air triste, le visage éteint… et enceinte jusqu’aux yeux. Lorsque je la félicitai, elle éclata en sanglots et se réfugia dans mes bras…
- Que se passe-t’il ? Tu devrais être heureuse, tu vas avoir un bébé dans quelques mois…
- Ne m’en parle pas… Mon copain m’a larguée quand il a su que j’attendais un enfant, allant même jusqu’à prétendre qu’il n’était pas de lui… et il était trop tard pour avorter puisque j’étais déjà à la 10ème semaine !
- C’n’est pas cool de sa part… Comment fais-tu ? Cela ne pose pas de problème à ton boulot ?
- Non, mon chef de service est assez cool… Il a réussi à me faire muter à la régie ce qui fait que je n’ai plus à conduire les bus scolaires de la ville…
- Je sais que tu es propriétaire de ton logement… donc ton mec est parti !
- Oui… après bien des disputes… des cris, des tentatives de réconciliation… un soir quand je suis rentrée du boulot, toutes ses affaires avaient disparu et il avait laissé un simple mot en me disant de me « démerder avec le mioche » !
Je ne lui cachai pas qu’hélas, c’étaient des aléas de la vie… elle connaissait ma situation de veuf mais ignorait complètement le côté « coquin » de ma vie. Nous sommes allés prendre un pot dans un bistrot à proximité et nous avons trouvé un coin discret pour continuer à bavarder. Comme je l’ai déjà écrit, lors des rencontres « après chants », nous n’échangions que des banalités, mais cette fois nous avons eu un dialogue plus abouti.
C’est ainsi que je lui confiai des bribes de ma vie, la rencontre avec une jeune fille connue pendant des vacances dans la région d’origine de la famille, la guerre en Algérie, le retour au pays et le mariage et les enfants désormais mariés à leur tour et dispersés au quatre coin de la France. Je parlai ensuite de la maladie de mon épouse et son décès… De son souhait de me voir refaire ma vie avec une amie de la famille, veuve également… emportée à son tour par cette foutue maladie à peine six mois après nous être mariés…
Oh je ne me plaignais pas… J’avais été heureux… C’était plus pour lui montrer qu’on triomphe souvent des difficultés si on s’en donne la peine. Elle m’écoutait, approuvait brièvement un propos et replongeait dans son mutisme, les yeux dans le vague… encore pleins de larmes.
Je n’osais pas la brusquer en posant des questions… Je voulais qu’elle se sente assez en confiance avec moi pour parler librement… Dans les jours qui ont suivi, je m’arrangeais pour me trouver sur son chemin quand elle rentrait chez elle après la journée de travail… Je voulais voir comment elle allait… Je pensais à ma fille habitant loin de moi… Mais elle, elle avait mari et enfants et était heureuse en ménage.
Nous bavardions tantôt brièvement en marchant, tantôt nous prenions le temps que nous installer sur un banc du square tout proche… où un jour de cette fin de printemps, nous avons été surpris par une averse orageuse, qui en moins de 10mn a complètement transpercé nos vêtements. Nous étions plus proches de chez moi, c’est ainsi que je lui ai offert de venir s’y sécher, disant que je lui prêterais un jogging pour renter chez elle. Pendant que nous marchions d’un pas rapide pour aller chez moi, je regardais discrètement la silhouette d’Agnès qui se reflétait dans les vitrines des magasins. La pluie avait plaqué sur ses formes le tissu fin de sa robe : des cuisses fines, un petit ventre très arrondi, et plus haut une paire de seins qui devaient être relativement moyens, mais qui semblaient avoir pris du volume avec la grossesse. Le visage d’Agnès, j’avais pu le regarder longuement… légèrement rectangulaire avec le menton pointu, une bouche aux lèvres fines, un nez droit et des yeux couleur lavande… et des cheveux blond cendré coupé en carré un peu long.
À l’appartement, je lui ai offert de prendre une douche pendant que je préparais une boisson chaude… Nous en avions besoin… La pluie nous avait mouillés complètement si bien que je commençais à frissonner dans mes vêtements humides. Certes, le jogging que je lui avais passé était un peu grand mais elle pouvait y loger sur petit ventre rond sans problème…
- Installe-toi… sers toi ce que tu veux… café ou thé pendant que je vais me changer !
- Ok… mais je vous attends !
- Je ne serai pas long !
Si personnellement je tutoie facilement, Agnès en était restée au vouvoiement… mais j’espérais bien que cela changerait car je trouve cela un peu pompeux entre personnes qui se connaissent bien. Nous avons continué à bavarder pendant une quinzaine de minutes puis Agnès est partie chez elle en disant :
- Passe demain chez moi… je te rendrai ton jogging et nous dinerons ensemble… j’en ai marre de diner seule face à mon assiette.
- Ok… çà marche. 19 heures ?
- Oui ce sera parfait !
Le lendemain à l’heure dite, je me présentai chez Agnès muni d’un bouquet de fleurs des champs puisque c’était la saison et d’une bouteille de Champagne que j’ai prélevée dans mon réfrigérateur.
- Entrez vite… Oh… des fleurs… MERCI !
- Ce n’est rien… Je n’arrive jamais les mains vides où que ce soit !
- C’est une belle attention… Entrez !
Nous passons rapidement dans la pièce à vivre, moitié salon, moitié salle à manger avec une cuisine ouverte… meublée simplement mais avec un goût certain. Le dîner se passe rapidement… crudités, viandes froides et la bouteille de Champagne… puis nous nous installons côte à côte sur le divan pour continuer à parler de nous, de nos envies, de nos projets…
Soudain Agnès se tourne vers moi, me tend ses lèvre en disant :
- J’ai envie de faire l’amour… çà va faire quatre mois… si tu veux de moi, prends moi… je sais… je sens que tu seras doux !
Elle est passée au tutoiement… Comment résister à une telle invitation… J’ai déjà fait l’amour avec mon mes épouses enceintse… Je sais quelles sont les « bonnes positions »…
- Tu me fais un grand honneur en te livrant ainsi… Je ne l’avais jamais envisagé…
- Viens, nous serons mieux dans la chambre…
Agnès cherche mes lèvres et je pose mes mains sur ses hanches… Je ne veux pas la brusquer… La rupture avec son compagnon a été suffisamment pénible… Elle se colle à moi… je sens son petit ventre rond de femme enceinte de 6 mois contre moi et cela m’émeut doublement… elle se livre et j’ai envie d’elle au point que mon sexe se dresse dans mon boxer…
Pendant qu’une de ses mains déboutonne ma chemisette pour venir agacer mes tétons du bout de ses ongles, j’ôte le chemisier et les seins ronds et gonflés apparaissent encore prisonniers d’un soutien gorge couleur chair. Les mains d’Agnès s’affairent sur ma ceinture et bientôt mon pantalon, suivi du boxer, tirebouchonne sur mes chevilles… Ce sont toujours des baisers de plus en plus ardents, sa langue livre avec la mienne un combat qui achève d’envenimer nos sens…
Je fais tomber la jupe et Agnès m’apparait dans toute sa splendeur de jeune femme en pleine maturité…
Waouh… qu’elle est belle… et désirable… Je n’aurais jamais envisagé cela… Le lit nous accueille… deux corps emmêlés sur le côté… Je passe une main dans ses cheveux puis je descends sur la poitrine où je caresse tour à tour ces deux beaux fruits murs et pleins de promesses… Je bande de plus en plus fort… Un désir inassouvi s’est emparé de moi… et les attouchements qu’Agnès prodigue à mon sexe et mes bourses ne font rien pour arranger les choses…
- Viens sur moi… Tu vas me chevaucher… c’est assurément une des meilleures positions dans ton état… Ton petit ventre ne te gênera pas !
C’est ainsi que je vois Agnès me faisant face prendre mon sexe dans sa main droite, le placer à l’entrée de son vagin et se laisser glisser lentement jusqu’à ce que nos pubis soient en contact étroit… Elle doit être excitée elle aussi car sa vulve est chaude et humide… et je m’y sens bien… Lorsque je place mes mains de chaque côté de sa taille, Agnès commence les mouvements de va-et-vient, montant lentement puis se laissant retomber lourdement pour s’empaler au plus profond d’elle-même…
J’ose quelques attouchements sur ses seins qui s’offrent à ma vue, gonflés, l’aréole saillante visible au travers du tissu… Je laisse Agnès chercher sa jouissance… je ne suis en cet instant que « l’objet » qui va lui apporter ce qu’elle cherche… et j’attends… Soudain elle se tétanise et dans un cri rauque, Agnès exprime sa jouissance… J’attendais cet instant pour me lâcher et c’est avec un plaisir non feint que nous achevons de prendre notre plaisir, inondant sa matrice de longs jets de sperme… Elle reprend son souffle allongée sur mon buste… puis elle bascule sur le côté en disant :
- MERCI ! C’était bon…
- Pourquoi MERCI ? C’est moi qui devrais te remercier… M’avoir demandé, moi qui ai le double de ton âge… Je sais que ce n’est pas par amour… Tu as voulu apaiser tes sens qui sont en manque…
Nous restons ainsi de longues minutes, face à face, enlacés à nous regarder sans presque échanger que des regards ou quelques mots…
Quand bien plus tard (il fait nuit depuis longtemps…) je fais mine de vouloir me lever et prendre congé, Agnès me retient :
- RESTE… C’était tellement bon que j’ai envie de passer la nuit avec toi…
Pour me sentir plus totalement contre elle, je lui demande de me tourner les dos et c’est dans cette position de cuiller que nous nous endormons. Et quand nous nous réveillons le lendemain matin… nous n’avons quasiment pas bougé…
Mais comme presque tous les matins, la nature se rappelle à moi et les fesses d’Agnès contre mon bas ventre ne font rien pour arranger les choses : Je bande comme un cerf !
- Humm… c’est intéressant ! Tu as encore envie de moi ?
- Evidemment… Ne le sens-tu pas ?
- Si… Prends moi comme çà, en douceur !
C’est ainsi que j’ai fait l’amour une seconde fois à Agnès dès le réveil… Une étreinte pleine de douceur et de tendresse. Je n’ai rejoint mon domicile que tard dans l’après midi du dimanche après une sieste « crapuleuse » qui nous a emmenés sur les chemins du plaisir… Nous nous sommes revus à plusieurs reprises mais il ne s’est plus rien passé entre nous… Quand Agnès a mis au monde un beau garçon, elle m’a demandé d’en être le parrain… Je suis fier de la confiance qu’elle a mis en moi…
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