Les désirs lesbiens d’une femme enceinte

Désirs lesbiens d'une femme enceinte

Depuis quelques semaines, je vais passer les après midi chez mon amie Shelly. Cela ne me gêne pas car l’une et l’autre, nous avons la chance d’avoir un mari qui a une situation qui nous permet de ne pas travailler d’une manière régulière.

De plus,  quand nous avons un contrat pour des photos, nous nous sommes toujours arrangées pour y aller ensemble…

Je m’appelle Angie… Avec mon amie, nous sommes originaires de la région de Londres et nous nous sommes rencontrées dans un célèbre studio de photos de la rive droite de la Seine. Nous avons sympathisé tout de suite et nos copains, avant de devenir nos maris, en ont fait autant. Ainsi, les couples se sont liés d’amitié.

Avec Shelly, nous sommes assez semblables, deux jeunes femmes bien dans leur peau qui, à presque trente ans, sont bien installées dans la vie avec des maris aux petits soins pour nous.  Shelly est une grande fille de près d’1,75m avec de longs cheveux bruns qui lui descendent au milieu du dos. Elle a un visage régulier avec des yeux d’un bleu profond, ombrés de longs cils et de sourcils toujours impeccablement épilés. Son nez est fin avec des ailes très mouvantes et sa bouche aux lèvres ourlées lui fait une moue charmante.

Sans être opulente, sa poitrine est bien ferme et les tétons sont bien marqués dans les aréoles bistre. Sa taille fine est ornée d’une chainette en or avec un petit cadenas… En riant elle m’a dit que c’était le symbole de l’attachement à son mari. Ses hanches sont en rapport avec sa taille. Elle est très fière de son 90 / 65 / 90.

De mon côté, j’ai hérité de mes ascendant gaéliques une crinière rousse et une peau diaphane toujours ornée d’éphélides qui s’accentuent lorsque je m’expose au soleil. Mes cheveux ondulés coupés en carré descendent jusqu’à mes épaules. Mes cils et sourcils sont brun clair et j’ai des yeux verts… Je trouve le bas de mon visage banal avec mon petit nez, ma bouche étroite et mon menton pointu. Cependant les photographes trouvent que j’ai un charme indéniable… un peu coquin !

Pourtant, je suis très sage depuis que j’ai rencontré mon mari…

Je suis un peu plus petite que Shelly et chez moi tout est petit : mes seins sont à peine renflés, des soutifs de bonnet A les contiennent sans peine, ma taille est si étroite que mon homme peut presque en faire le tour avec ses grandes mains, ne parlons pas de mes hanches qui sont si étroites que j’ai l’air vue de dos d’un être androgyne.  Si je passe autant de temps avec Shelly, c’est parce qu’elle est enceinte, presque au bout de sa grossesse… Le terme est proche et elle m’a dit qu’elle se sentait seule, que son « gros ventre » ne l’incitait pas à sortir, qu’elle n’aimait pas sentir sur elle le regard des gens dans la rue… Pourtant lorsqu’elle sortait, elle portait des vêtements très chics et seyant à son état de future mère. Cet après-midi là, lorsque je suis arrivée chez Shelly, j’ai vu qu’elle n’avait pas le moral dès qu’elle a ouvert la porte…

Nous avons bavardé quelques minutes puis je lui ai proposé de l’aider à prendre un bain et qu’ensuite je lui ferais un massage pour détendre son ventre.

  • Oh oui… c’est une bonne idée !

Je connaissais bien l’appartement aussi, je n’ai eu aucun mal à trouver tout ce qu’il fallait dans la salle de bains : Gel moussant, bougies parfumées, etc. de quoi créer une ambiance relaxante. Je suis passée dans la chambre où se trouvait mon amie et je l’ai guidée vers la baignoire où l’attendait un bain chaud et parfumé…

J’ai fait glisser ses vêtements et je l’ai soutenue pour descendre dans l’eau bleu turquoise du bain.

  • Oh… que çà fait du bien… Tu as eu une idée merveilleuse.

Je me suis agenouillée sur la margelle puis j’ai massé les épaules de Shelly partant du haut du dos pour arriver sur sa nuque où j’avais relevé sa longue chevelure avec une grosse pince. Peu à peu, je sentais mon amie se décontracter… et je l’ai laissée dans le bain plus d’une demie heure tout en bavardant avec elle… Je lui posais plein de questions sur sa grossesse, comment elle avait vécu les premières semaines, comment cela se passait avec Jimmy son mari, comment ils arrivaient à faire l’amour avec le ventre proéminent de mon amie… mais je n’oubliais pas non plus de lui parler de mes dernières séances de pose et certaines anecdotes glanées ici ou là…

Le temps s’est écoulé… Je l’ai aidée à sortir du bain, je l’ai séchée consciencieusement avec une grande serviette que j’avais mise à chauffer. Je prenais soin de mon amie… je me consacrais entièrement à elle… je l’ai conduite dans sa chambre où j’ai trouvé les onguents utiles pour lui masser les seins et le ventre…

Allongée sur le lit, Shelly se livrait totalement… avec une certaine impudeur puisqu’elle était entièrement nue… Je la trouvais belle… je l’enviais un peu car depuis qu’elle était enceinte, je voulais moi aussi faire un bébé mais hélas, les mois passaient et rien ne se produisait !

Lorsque j’ai commencé à passer de la crème raffermissante sur ses seins, elle a poussé un soupir d’aise et presque aussitôt j’ai vu les pointes s’ériger au milieu des aréoles. Je trouvais sa poitrine somptueuse, veinée de bleu… elle avait grossi… elle était chaude et ferme… Puis j’ai changé de produit et c’est là que j’ai remarqué que tous appartenaient à une gamme bio… mais cela ne m’a pas étonné compte tenu des orientations de ma copine…

J’ai massé longuement son ventre en remontant des côtés vers le nombril qui était à moitié sorti. De temps à autre, je sentais bébé se manifester au travers de la peau distendue par sa présence… Et Shelly m’encourageait toujours en disant que je lui faisais du bien… elle se laissait faire les yeux fermés !

Voyant cela, je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête : Je me suis penchée vers l’un de ses seins et j’ai embrassé le téton… je dois dire que je l’ai plus sucé qu’embrassé ! Et Shelly m’a dit :

  • Continue… c’est bon…

L’une et l’autre nous n’avons jamais eu de penchants homosexuels et là, nous étions entrain de dériver vers l’inconnu !

Pendant que ma bouche passait d’un sein à l’autre, mes mains ne restaient pas inactives… je massais doucement ces globes de chair les collant l’un à l’autre puis les laissant reprendre leur position naturelle.

  • Humm… continues… çà m’excite…

Le pire, c’est que moi aussi cela commençait à m’exciter…

J’ai laissé les seins puis je suis descendue jusqu’au nombril sur lequel j’ai vrillé ma langue… Je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai eu comme l’impression que le bébé se révoltait dans le ventre de Shelly car j’étais nettement senti comme des coups frappés au travers de sa peau !

Puis ma bouche a dérivé une nouvelle fois vers le pubis de Shelly.

J’ai d’abord humé sa toison où j’ai retrouvé les parfums des sels de bains et plus bas… ils se mêlaient à une odeur qui ne me trompait pas… La chatte de Shelly était imprégnée de cyprine…

C’est à ce moment qu’elle a pressé ma tête sur ses lèvres intimes en disant :

  • Suce-moi… Lèche-moi bien profond… J’en ai envie !
  • Oh oui… Moi aussi… Tu sens si bon !
  • Viens sur moi… mets-toi nue aussi ! On va se bouffer la chatte… Depuis le temps que j’en ai envie !

Le temps des questions viendrait ensuite… Ma robe d’été a volé par-dessus mes épaules, mon soutien gorge et mon string se sont retrouvés au bas du lit et je me suis mise tête-bêche au dessus de Shelly.  J’avais la vue de sa chatte en gros plan et je n’ai pas tardé à lui ouvrir les lèvres avec la pointe de ma langue pour aller chercher sont clitoris que j’ai trouvé très développé (à cause de son état ?) et je l’ai pris entre mes lèvres pour le sucer ! Je m’enivrais des odeurs et des sensations que Shelly me procurait… je sentais ses mains sur mes fesses, le souffle dans ma raie… et j’appréciais…

Ce que Shelly ne savait pas… c’est que j’aimais AUSSI les femmes… C’était un secret jalousement gardé, une sorte de chasse gardée pour moi et mon mari qui m’avait fait découvrir en club libertin les parties à trois avec un duo féminin… et quand il baisait la fille, je n’étais pas jalouse puisque je savais qu’il ne s’agissait que de sexe. Mes caresses étaient de plus en plus appuyées, j’avais introduit deux doigts dans le sexe de mon amie ou je les faisais aller et venir comme s’ils avaient été un sexe d’homme…

Je n’étais aucunement gênée par son ventre proéminent de femme enceinte, proche du terme…

Je baisais Shelly qui était de plus en plus réceptive. Sa chatte coulait entre mes doigts et sa cyprine inondait la raie de ses fesses… Elle bougeait de plus en plus du bassin et moi, de mon côté, je sentais que ma jouissance montait dans mon ventre…

Soudain, un orgasme démentiel s’est emparé de Shelly… elle jouissait de tout son corps… ses bras et ses jambes s’agitaient dans tous les sens, son bassin se soulevait pour venir au devant des mes caresses… Je ne savais plus où j’en étais quand je me suis mise à jouir à mon tour !

J’ai basculé sur le côté pour retrouver mes esprits pendant que la respiration de Shelly s’apaisait.

  • MERCI ma belle… Tu m’as décontractée… C’était bon !

Nous nous sommes câlinées pendant quelques temps puis nous nous sommes rhabillées… Au cours de la soirée, j’étais au lit dans les bras de mon homme quand le téléphone a sonné : Shelly nous annonçait qu’elle partait pour la clinique… le bébé allait naître !

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