Bonjour à toute l’équipe d’histoires libertines, je m’appelle Françoise, j’ai 48 ans et je vis à Abbeville. Je mesure 1m75, blonde et 90F de tour de poitrine. Très féminine et BCBG, je porte toujours une jupe (plus ou moins courte) ou une robe. Ma tenue est complétée par des talons d’au moins 8cm. Je suis responsable commercial dans un cabinet de gestion de patrimoine.
Mon travail (et mon éducation) m’obligent à être toujours impeccable. D’ailleurs, une fois par mois, je prends le train direction la capitale pour une séance shopping. Divorcée et sans enfant, je n’ai actuellement personne dans ma vie. Enfin presque. J’ai un sexfriend. Un homme plus jeune que moi. En fait je n’assume pas cette relation (c’est un autre sujet) et nous nous voyons de manière discrète. Il s’appelle Téo, métis antillais, il a 32 ans et travaille comme garagiste.
Nous venons de deux mondes totalement différents. Mais il est beau, très séduisant et me fait l’amour comme un dieu. C’est avec lui que j’ai appris à me lâcher et que j’étais une femme fontaine. C’est sûr que quand j’y pense j’en aurai des histoires à raconter sur nos parties de jambes en l’air. Mais pour cette première, je tiens à partager ce qui s’est passé dimanche dernier.
Comme dirait une de mes jeunes collègues, j’ai pris cher au réveil.
Téo a passé le week-end chez moi. Et nous avons passé le samedi à faire l’amour (je n’ose écrire « baiser » qui serait le terme le plus approprié). On a dû se coucher 1h du matin. A 7 heures, je me suis levée pour aller boire un verre d’eau. Quand je suis revenue dans le lit, Téo a glissé sa main entre mes cuisses et j’ai senti deux doigts imprégnés de salive me caresser le sexe.
A moitié réveillée, j’ai appréciée et je l’ai laissé faire. Je me suis vite mise à mouiller. C’est là qu’il est venue sur moi, m’a prise fermement dans ses bras et a planté sa queue en moi. En missionnaire, d’abord doucement et très vite, il est passé en mode marteau pilon. J’ai réussi à encaisser, c’était surprenant mais très excitant cet assaut brutal et sauvage.
J’ai adoré sentir cette puissance animale s’abattre en moi
Quand il a intensifié la cadence, j’ai hurlé de plaisir car j’ai été terrassée par un orgasme d’une force inouïe mais aussi parce que mon corps supportait de moins en moins la vigueur de mon amant. Mon vagin commençait à me brûler malgré la mouille qui ruisselait et surtout je commençais à avoir le bassin et les cuisses qui brûlaient.
A chaque coup de rein, tout mon corps frémissait. Je ne savais plus où j’étais ni comment réagir. Jamais, je n’avais été prise de la sorte. Je me suite démontée (il n’y a pas d’autres mots) pendant près de 20 minutes. Quand Téo a jouit, ce fut pour moi une délivrance. J’en pleurais de douleur et de plaisir.
Ce jour là, j’ai passé la journée au lit épuisée et totalement courbaturée par cette baise matinale. Téo en partant m’a félicitée pour mon endurance et m’a proposée de tester la résistance de ma bouche et de mon anus. J’angoisse mais j’ai hâte….
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Bonjour,
C’est un texte vigoureux … sourire … Mais nous les femmes on est ainsi on endure et on en redemande…
J’espère lire les autres aventures …
Je réponds à Zaira, j’ai lu ce très beau récit charnel, je constate que cette jeune femme aime l’amour sauvage avec des hommes jeunes et non avec des hommes matures peut-être par déceptions, ce que je comprends aisément.
J’aime cette forme d’amour avec une femme, je suis un homme fougueux.