Quel bisexuel peut rêver mieux ?

Quel bisexuel peut rêver mieux ?

Comme d’habitude, il fait beau. Mais c’est normal, nous sommes à Dakar. Comme chaque dimanche, mes amis et moi nous sommes retrouvés au club nautique de Hahn. Là, nous avons embarqué sur un bateau afin de rejoindre la plage de Thiaroye. Là bas, c’est protégé du vent et il y a un magnifique plan d’eau où faire du ski nautique. Au départ, nous naviguons assez lentement car il y a pas mal de vaguelettes (on appelle ça du clapot) et nous voulons garder un certain confort. Surtout que, aussitôt que cela est possible, nous retirons tous les maillots de bain et certain(e)s s’installent pour des bains de soleil.

Nous sommes six, trois filles et trois garçons, qui nous sommes connus au lycée, il y a une dizaine d’années. Le bateau appartient à Patrick, souvent nous sommes rejoints à Thiaroye par un autre couple sur un bateau plus gros, mais pas ce jour là. Nous avons environ 45 minutes de bateau pour rejoindre la plage où nous allons nous arrêter. Je m’installe sur le pont à côté de Monique, en principe ma copine attitrée. Elle m’accueille d’un joli sourire et pose un baiser sur mes lèvres. Elle frotte sa poitrine contre la mienne en ronronnant comme une chatte, puis elle s’allonge à nouveau sur le dos. Elle replie légèrement ses jambes et les écarte. Elle me demande :
Ta main s’il te plaît.
Je pose ma main sur son nombril et, lentement, je la fais descendre vers son pubis. Je m’arrête un moment au début de sa toison, puis j’introduis mes doigts dans ses poils. Je sens qu’elle se tend, impatiente. Alors je vais plus loin et commence à caresser ses lèvres. Elle ouvre plus largement ses jambes en poussant un soupir. Et elle fait osciller son bassin, comme si elle était en train de faire l’amour. Répondant à son impatience, j’introduis deux doigts dans sa chatte, qu’elle accueille avec un enthousiasme évident. Ca dure plusieurs minutes, au bout desquelles elle se soulève en gémissant, subissant la violence d’un orgasme énorme. Ma main est trempée. Monique m’attire vers elle et m’embrasse avec une grande fougue.

Je m’assieds un peu pour récupérer. Je vois qu’un peu plus loin sur le bateau, Eloïse est en train de sucer Jacques, qui bande comme un taureau. Ce type a une bite comme un poignard, longue (plus de 20 cm) et fine, environ 3,5 cm de diamètre au maximum. Pour oeuvrer, Eloïse est à quatre pattes et j’ai un point de vue imprenable sur ses deux trous. Sa chatte n’est pas rasée, les deux lèvres sont discrètes et actuellement bien serrées. Son anus, lui, est assez accueillant. Pas très large, il est ouvert et on a l’impression qu’il ne demande qu’à être pénétré. Je laisse cela à Jacques.

Patrick conduit. Comme souvent au départ d’une balade, nous sommes chacun avec nos copines attitrées, mais ça va se mélanger. Pour l’heure, Madeleine est aux côtés de Patrick, la tête tendrement appuyée sur son épaule. Patrick se contente de caresser doucement ses fesses, introduisant de temps à autre un doigt dans la raie, sans toutefois atteindre le petit trou. Elle a un joli popotin, Madeleine, avec des fesses bien rondes et plantées haut, faites de muscles bien fermes. Il lui suffit de se cambrer un peu (ce qu’elle fait actuellement) pour que sa raie s’ouvre et qu’on voie son intimité la plus profonde. J’ai très envie d’y aller tout de suite, mais il faut les laisser tranquilles pour l’instant.

Il faut que je précise avant d’aller plus loin dans mon récit : nous sommes tous les six des bissexuels. C’est même pour cette raison que nous nous entendons si bien car chacun de nous a fait et refera l’amour avec tous les autres, sans distinction de sexe. Ca nous a pris du temps pour nous dévoiler. Nous avons eu une longue discussion un jour sur la plage, après que je me sois fait surprendre en train de sucer Patrick. Déjà, nous avions décidé de ne plus avoir de pudeur les uns envers les autres, mais sans permissivité sexuelle. Mais après cela, tout s’est déclenché. Nous avons vu les filles se faire des mamours, j’ai enculé mes deux copains qui me l’ont bien rendu, et j’ai fait l’amour de toutes les manières avec chacune des trois filles. Nous prenons des précautions car, à l’époque où tout ça s’est passé, il n’y a pas de pilule. Alors, lorsque nous baisons classiquement les filles, nous portons des capotes, mais finalement, elles comme nous, nous préférons la sodomie. On passe donc nos journées à s’enculer. Bref, lorsque nous revenons d’une journée de ski nautique, ce n’est pas que le sport qui nous a fatigués.

Après trois quarts d’heure d’une traversée sans histoire, nous arrivons à la plage de Thiaroye. Patrick échoue doucement le bateau et coupe le moteur. Je saute à l’avant avec une ancre à planter dans le sable. Et nous commençons à décharger nos affaires : glacières, divers sacs, des draps de bain et des parasols. Nous nous installons. Tout se passe bien mais, à un moment, Madeleine, me tournant le dos, se penche pour fouiller dans un sac. Je n’ai vraiment pas pu me retenir. Je l’ai attirée vers moi et je me suis mis à lui lécher le cul. Elle a d’abord eu un mouvement de retrait puis, finalement, s’est bien cambrée pour s’offrir à la caresse. Je passe doucement ma langue sur son petit trou, et je fais comme si j’allais la rentrer dedans. Ca ne rentre pas, mais ça lui donne de la sensation. Elle aime. Et moi je bande comme un taureau. Voyant cela, Monique s’approche et me prend en bouche avec autorité.

Décidément, il y a de l’ambiance : Patrick et Jacques sont en train de s’occuper d’Eloïse. Elle est à quatre pattes, Patrick derrière et Jacques devant. Je sens que cette journée va être passionnante. De mon côté, j’ai obtenu que Madeleine s’assoie sur ma bite, en se l’enfonçant profondément dans son beau petit trou du cul. Son sphincter est souple et ça rentre bien, surtout que, de ma langue, j’avais bien humecté. Du coup, la chatte de Madeleine étant disponible, Monique est allée s’en occuper. Je ne sais pas si Madeleine va tenir le coup. Elle apprécie tellement la situation que j’ai l’impression qu’elle va tourner de l’oeil. Alors je me presse de finir et je lui lâche ma bordée. Lorsque je me retire, Madeleine est toujours sur le dos, avec la tête de Monique entre ses jambes. Puis je vais m’installer à côté d’Eloïse, à quatre pattes, comme elle. J’espère que Patrick va la délaisser un moment pour s’occuper de mon petit trou qui ne demande qu’à être rempli. Mais c’est Jacques qui délaisse la bouche de la fille et me tend sa bite à sucer. Je m’exécute, bien entendu. J’aime sucer une bite. Celle de Jacques est une des meilleures car elle est longue et fine. Elle s’immisce parfaitement dans la gorge et, alors même qu’elle est longue, il est facile de l’avaler jusqu’aux couilles. Puis Jacques fait le tour et vient m’enculer. Oh que c’est bon ! Il fait son va et vient pendant quelques minutes, en me tenant par les hanches et en allant toujours aussi profond que possible. Lorsqu’il explose en moi, il se dépêche de ressortir pour arroser mes fesses de sa semence. Je me retourne ensuite et, de nouveau, je prends sa bite en bouche pour bien le finir.

Après cette séance, et après quelques minutes de récupération, nous remettons le bateau à la mer. Jacques veut skier un peu. C’est un bon skieur, en mono, spécialiste du slalom. Nous n’avons pas de parcours tracé à la plage de Thiaroye, mais il fait de belles évolutions derrière le bateau. Bien entendu nous restons nus car l’endroit est vraiment désert. Pas un bateau en vue, à voile ou moteur. Patrick conduit le bateau, Eloïse est comme moi en passagère. Après quelques minutes, Jacques remonte à bord et passe son ski à Eloïse. J’adore la voir skier. Elle est très belle, blonde aux cheveux mi-longs, mince, de longues jambes, rien que de jolies proportions. Elle ne s’épile pas. Au moins, on voit que c’est une chatte qu’elle a en bas de son ventre, pas juste un trou sans décor. Patrick la fait évoluer quelques minutes et nous ramène à la plage. Nous interrompons Monique et Madeleine qui se font un magnifique 69 alors que grillent des saucisses sur le barbecue. Monique adore se faire travailler le trou du cul, que ce soit avec des doigts, une langue ou une bite. Moi j’aime surtout sa chatte, assez étroite pour procurer de délicieuses sensations quand je la baise. Madeleine, souvent, dit qu’elle est amoureuse de Monique, elle voudrait l’épouser. Ce sera peut-être possible dans quelques années.

Lors de nos journées de plage à Thiaroye, nous ne mangeons que par habitude. Le moment que je préfère dans ce genre de repas, c’est le café après. J’en apporte toujours une grande thermos qui est en général bien appréciée. Après quoi, nous nous étendons sur des couvertures, à l’ombre des palmiers bordant la plage, pour la sieste. Il n’y a pas de configuration de couples habituelle, nous nous allongeons là où nous sommes. En l’occurence, je me trouve entre Jacques et Eloïse. Mais je m’endors assez vite et il faudra que je me réveille pour comprendre ce qui a pu se passer pendant mon sommeil. Lorsque cela se produit, je suis allongé sur le dos, bras et jambes largement écartés. Dans ma main droite, je tiens la bite de Jacques, que je branle doucement alors qu’il dort encore. Ma main gauche, elle, est sur la chatte d’Eloïse, un doigt se glissant à l’intérieur, avec discrétion car elle dort aussi. Une qui ne dort pas, par contre, c’est Madeleine qui est en train de me sucer goulûment  tout en me mettant un doigt dans la rondelle. Putain, que je suis bien là ! Madeleine s’est rendue compte de mon réveil et elle accentue sa caresse, si ardemment que je tarde pas à exploser dans sa bouche. Elle garde tout et laisse son doigt dans ma rondelle. Je plie mes jambes pour qu’elle puisse entrer plus profondément, ce qu’elle s’empresse de faire en mettant plusieurs doigts. J’ignore combien, mais beaucoup et c’est bon.

Je continue à branler Jacques. Il a une bite longue et fine, exactement le type de membre que j’aime faire pénétrer dans mon cul. Du fait de ma caresse, alors qu’il dort toujours, il bande comme un taureau. Alors, abandonnant Madeleine et Eloïse, je viens m’asseoir sur lui. C’est un vrai plaisir de se faire pénétrer par cette bite. Je ne ressens aucune douleur d’élargissement exagéré, rien qu’une douce sensation dans mes entrailles. Du coup, tous les autres se regroupent autour de nous et viennent m’aider à faire un va et vient suffisamment efficace pour maintenir la bite en plein érection. Jacques se réveille. Il a l’air d’apprécier la séance et se met à bouger à son tour. Si bien que, peu de temps après, il lâche sa bordée. Mais Patrick veut tout interrompre. Il me repousse sur le côté et se met à sucer la bite de Jacques tout en la branlant. Il veut pour lui la semence qu’il avale intégralement. Il continue à branler pour obtenir jusqu ‘à la dernière goutte. Je râle un peu, en plaisantant : « eh ! C’était pour mon cul ! ». Monique vient me consoler en me roulant une magnifique pelle. Du coup, je me couche sur elle et nous baisons à la papa, en missionnaire. Je prends mon temps. La chatte de Monique est encore un peu sèche lors des premiers va-et-vient, mais elle s’humecte assez vite et je peux la pénétrer au plus profond. Et elle apprécie d’un feulement léger lorsque, avec douceur, je lui introduis un doigt dans l’anus. Elle a ainsi un premier orgasme, qui sera suivi assez rapidement d’un second lorsque, à mon tour, je lâche ma bordée. Nous nous regardons alors dans les yeux, comme si elle m’aimait et comme si je l’aimais.

En réalité, nous nous aimons tous, sans aucune préférence pour l’un(e) ou l’autre. Nous sommes six amants sans aucune distinction d’âge ou de sexe. J’aime Patrick et Jacques autant que chacune des trois filles. Tous, je les ai baisés et ils m’ont baisé. Lécher une chatte ou sucer une bite, tant que c’est dans notre groupe, il n’y a pour nous aucune différence. En plus, on est tous assez portés sur le plaisir anal, en quoi il n’y a plus de différence entre garçon et fille. J’aime enculer et j’ai 5 culs à ma disposition, j’aime me faire enculer et j’ai deux bites et trois filles avec godes à ma disposition. Je ne vous parle pas des coups de langues qui se produisent un peu partout.

Nous avons encore un peu skié cette après-midi là avant de rentrer à Dakar. Il fallait bien reprendre le boulot le lundi matin. En général, à la fin d’un dimanche comme celui-ci, je n’ai aucun mal à m’endormir. Et je parviens à avoir une attitude suffisamment digne le lundi matin pour mon boulot auprès de l’ambassadeur de France.

Tout cela s’est passé à la fin des années 1960, alors que je vivais à Dakar où j’avais mon premier poste de diplomate. Nous n’avons jamais perdu le contact les uns avec les autres depuis cette période et, encore aujourd’hui, nous nous retrouvons régulièrement. Parmi les filles, une est veuve, les deux autres sont divorcées. Chez les garçons, il y a deux veufs et un séparé. Nous avons tous eu des enfants qui, maintenant, sont adultes et ont leurs vies propres. Bref, nous revoilà tous célibataires et disponibles. Patrick possède une très belle propriété dans le Lot, une grande bâtisse au milieu d’un parc arboré et bien clos, avec un tennis et une piscine. Lorsque le temps le permet, nous y vivons nus des journées entières. Et vous pensez bien qu’on ne manque pas de baiser ou de s’enculer. Certes moins fougueusement que sur la plage de Thiaroye car physiquement nous ne sommes plus les mêmes, mais toujours avec autant d’amour les uns pour les autres et toujours sans distinction de sexe. J’aime autant me faire enculer par un des garçons (ou une fille avec un gode) que de baiser ou enculer une des filles. Quel bisexuel peut rêver mieux ?

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