soirée libertine sans limite

soirée libertine sans limite
Dans ce grand hall, il y avait bien une trentaine de personnes, toutes entièrement nues, ce qui était la règle de la soirée. Et il y avait des divans partout, et des matelas à même le sol, de sorte que, à de rares exceptions près, personne ne restait debout. Et ceux qui y restaient avaient tous devant eux quelqu’un(e) pour les sucer. Ce n’était donc que provisoire.
Pour ma part, je chevauchais une mignonne brunette à la chatte très velue. A genou entre ses jambes, tout en la baisant, je la regardais sucer un autre gars. Ce dernier m’a ensuite demandé la place et je suis allé chercher aventure ailleurs. Pas loin. J’ai vite trouvé une blonde qui, à quatre pattes, était en train de lécher une chatte. Elle avait le cul en l’air et son trou de balle paraissait très accueillant. J’ai commencé par, avec mon gland, caresser sa raie, passant et repassant devant l’orifice qui, petit à petit, semblait s’élargir. Apparemment, cela l’excitait. J’ai un peu craché sur le trou pour le lubrifier, et j’ai commencé à y entrer. Le bout du gland d’abord, doucement, sans brusquer de peur de faire mal. Mais elle, m’attrapant par les hanches, s’enfonça d’un seul coup ma bite jusqu’au fond, jusqu’à ce que mes couilles battent contre ses fesses.
Il faisait bon dans ce trou, pas étroit, mais pas trop large non plus, de sorte que les va et vient procuraient des sensations intenses, aussi bien à elle qu’à moi. De temps à autre, elle resserrait son sphincter, de sorte que je me sentais presque aspiré vers l’intérieur. Parfois au contraire, elle l’élargissait au maximum, comme pour appeler à le remplir entièrement.
J’étais si bien là que je mis un certain temps à comprendre que quelqu’un était en train de s’intéresser à mon cul. Ca m’a surpris et, dans un premier temps, j’ai voulu bouger pour montrer ma désapprobation. Mais, d’un autre côté, je ne voulais pas sortir de ma partenaire et mes mouvements étaient limités. Et puis, j’ai regardé autour de moi : il y avait presque autant de couples homos que de couples hétéros. Il y avait même quelques femmes équipées de godes-ceintures, qui passaient de trou en trou et enculaient tout ce qui était à portée.
Ca ne m’était jamais arrivé jusque là, et, par curiosité, j’ai décidé de laisser faire. Même, je me suis penché en avant pour caresser les seins de ma partenaire féminine. J’ai alors vu que c’était bien un mec qui était derrière en train de me chatouiller le cul et à qui, de cette manière, j’offrais ma croupe. Il procédait avec douceur et je dois avouer que je prenais plaisir à sa caresse. Même, lorsqu’il m’enfila un doigt, j’en étais impatient et j’y pris un très intense plaisir. Doucement, il laissa son doigt aller et venir dans mon anus, au rythme de mes propres mouvements dans le cul de ma partenaire. Puis il introduisit un deuxième doigt et patienta encore pendant que mon sphincter s’assouplissait. Je prenais de plus en plus de plaisir, tant par la bite que par le cul.
J’ai senti que mon trou s’élargissait car il y a mis de plus en plus de doigts. Je ne sais à combien il est arrivé, avant d’y mettre sa langue. Il parvenait à en entrer le bout et en profitait pour, de sa salive, bien lubrifier l’orifice. Cela dura deux ou trois minutes, après quoi il se releva et je sentis son gland glisser dans ma raie, effleurant mon trou du cul, le chatouillant doucement. Il passa dessus plusieurs fois puis s’arrêta et commença à appuyer.
Une bite entrait dans mon cul ! Mince, c’était la première fois. On ne m’a même pas demandé mon avis et je me laissais faire ! Il faut dire que le gars s’y est vraiment bien pris et je n’avais qu’une envie, c’était de le sentir envahir mon entre-fesses. Doucement, il fit pénétrer son gland et le fit ressortir. Ainsi de suite plusieurs fois, sans aller plus loin que le gland, ce qui permettait l’assouplissement maximum du sphincter. Lorsqu’il entra plus loin, cela se fit d’autant plus aisément que le gland était chez lui la partie la plus large de sa bite.
En m’enculant de la sorte, il massait ma prostate et, du coup, cela m’excitait côté bite. Je bandais encore plus fort et m’agitai de plus en plus. Je n’aurais pas imaginé que, d’être pris en sandwich comme ça, ce serait si bon. Je tendais ma bite le plus loin possible tout en m’efforçant de maintenir mon cul le plus ouvert pour recevoir mon partenaire au plus profond de moi-même. Je me retenais de jouir afin de faire durer l’instant au maximum. Puis, mon partenaire masculin se lâcha. Je sentis son sperme m’inonder le cul. Cela déclencha ma jouissance et, à mon tour, je lâchai tout dans le cul de la fille devant moi. Ca a été un moment extraordinaire. Jamais je n’avais ressenti cela : me faire enculer pendant que j’encule, qu’est-ce que c’était bon. Le paradis !
Tous trois, nous nous séparâmes et je me retrouvai allongé sur le dos, sur un tapis étalé à même le sol, entre la fille et le gars. Ce dernier, sans une parole, se leva et alla chercher un autre amusement un peu plus loin, dans une autre pièce. La fille me dit :
– Reste dans cette soirée : tu baises bien et tu sais te faire baiser, tu vas avoir du succès.
Elle me tendit un de ces rouleaux de papier qu’on trouve partout dans l’appartement ce soir et nous nous sommes nettoyés les orifices encore dégoulinants, puis nous nous sommes relevés et chacun est parti de son coté. Pour ma part, je suis allé m’asseoir sur un divan, à côté d’un couple qui s’embrassait. Pendant quelques minutes, j’ai repris mon souffle, tout en admirant la croupe de la fille à coté de moi. Elle avait surtout une splendide chevelure blonde, très abondante, bouclée et assez longue pour lui atteindre la taille. Je ne pus me retenir d’y passer les doigts. Cela la surprit et elle se retourna. Nos yeux se sont rencontrés et elle m’a souri. Puis, directement, elle se baissa, prit ma bite et se la mit en bouche. Elle me suça pendant une bonne dizaine de minutes, le temps de me faire bander à nouveau complètement, après quoi elle se releva et, après un furtif baiser sur mes lèvres,  partit s’amuser ailleurs.
Je restai un moment seul, assis sur le bord du divan. Puis deux gars se sont approchés tout en discutant entre eux. Ils se sont arrêtés de telle sorte que j’avais leurs bites juste devant mon visage. Ca faisait très longtemps que je me disais que, puisque les femmes sucent les bites, ça ne devait pas être un poison violent. Et je me demandais quel goût ça pouvait avoir. Alors, sans réfléchir, je tendis la main vers une des deux bites et la pris entre mes doigts. Le gars, surpris, s’est arrêté de parler mais, au lieu de se retirer, il s’est tourné vers moi pour mieux se prêter à la caresse. Alors, doucement, j’ai approché mon visage et j’ai pris sa bite dans ma bouche. Elle était au repos, mais je sentis nettement les giclées de sang qui la remplirent pour lui donner volume et rigidité. Et voilà, maintenant, je suçais un mec. Un vrai pédé ce soir le Martin. J’ai trouvé un certain plaisir à cette action, celui de donner du plaisir. Mais bon, désormais, je sais que je peux aussi bien sucer un mec que lécher une nana. Après moins d’une minute, bite bien raide, il s’est tourné vers une nana et s’est intéressé à elle.
Il me restait à essayer de me faire enculer directement. Je cherchais un type disposé. J’en vis un, assis dans un fauteuil, en train de se branler doucement, la bite bien raide. Je m’approchai et, lui tournant le dos, je tendis ma croupe vers sa bite. Il mit ses mains à ma taille afin de me guider. De ma main droite, je pris sa bite et la dirigeai vers mon cul. Elle rentra assez aisément car elle était fine et longue. Dès le premier accès, je la poussai jusqu’au plus profond, posant mes couilles sur les siennes. Puis j’entamai le va et vient, assez difficile car c’était moi qui devais monter et descendre. Finalement, je me contentai de me tenir à mi hauteur et ce fut le gars qui s’agita. Nous voyant ainsi, une jeune femme s’agenouilla à côté de nous et prit ma bite en main d’abord puis en bouche. La vache ! Qu’est-ce que c’est bon tout ça ! Après deux minutes, elle s’est relevée et, à son tour, m’a tendu sa croupe pour que je la baise. C’était une figure acrobatique difficile et je me suis contenté d’entrer et ressortir. Puis je me suis relevé, sans attendre que mon partenaire masculin se satisfasse.
J’ai baisé une femme, j’en ai enculé une autre. Je me suis fait enculer pendant que j’enculais, puis ensuite en m’asseyant sur une bite. Il me restait une expérience à faire ce soir là : enculer un mec. Je me baladai alors dans les différentes pièces de l’appartement et, dans le salon, au milieu de nombreux couples, je vis un gars à genou, en train de sucer la bite d’un autre gars assis dans un fauteuil. Je crois bien que c’était celui qui m’avait enculé la première fois. Je m’approchai et je commençai à lui caresser le cul. Il a tourné la tête, m’a regardé et m’a souri, puis il a repris son œuvre précédente. J’ai entré un doigt dans son anus et, en réaction, il a tendu sa croupe vers moi, cherchant la position qui écartait le mieux ses fesses.
Je me baissai pour lui lécher la raie, ce qui me permit d’humecter le trou afin de permettre une pénétration plus facile. Le trou était large, manifestement bien entraîné à la sodomie. Puis, de mon gland, je caressai son cul jusqu’au moment où, sans grande douceur tant son trou était accueillant, je le pénétrai profondément. Je vis son corps se tendre de plaisir et je commençai le va et vient. Il resserrait son anus au maximum, ce qui me permettait de le sentir du mieux possible.
Assistant à la scène, une fille vint se positionner face à moi par-dessus le gars, m’offrant sa chatte à lécher. Elle avait le poil blond et fin et ses lèvres étaient déjà bien ouvertes par l’excitation. J’y insérai ma langue. De ma main droite, je parcourais son cul dont, finalement, je trouvais le trou pour y introduire un doigt. Manifestement, cela lui plut. Mais elle ne resta pas longtemps, vite appelée à d’autres plaisirs dans cette vaste orgie. Je continuai donc à enculer ce type. Lorsque j’explosai en lui, l’autre lui arrosa la bouche. Le type, apparemment, voulut profiter au maximum de l’instant. Il s’ouvrit au plus large pendant un moment, puis il s’effondra, allongé sur le dos, le souffle court. Il allait mettre un certain temps à récupérer, je crois.
Je commençai alors une balade dans l’appartement, explorant toutes les pièces, y-compris les salles de bains et cuisines. Partout il y avait du monde, en action ou non, sans aucun vêtement car la règle de la soirée était la nudité totale. Dans un office derrière la cuisine, deux jeunes femmes étaient munies de godes-ceinture et proposaient leurs services à tous celles et ceux qui passaient. L’une m’aborda, mais je refusai car son gode faisait au moins 6 centimètres de largeur. Trop pour moi, je savais que ça ne passerait pas sans douleur.  L’autre, par contre, avait un gode long et mince, environ 25 cm de long sur 3,5 ou 4 cm de large. Elle vit mon approbation, et elle passa derrière moi. Elle me fit pencher en avant et commença à caresser mon cul. Elle prétendit que c’était le plus beau petit cul de la soirée. Ce n’était sans doute pas vrai, mais cela faisait plaisir quand même.
Ayant ouvert un flacon, elle m’enduisit le trou de lubrifiant, n’hésitant pas à faire pénétrer un ou deux doigts. Puis, en douceur, elle m’enfonça son gode, doucement, jusqu’à la garde. Une chose m’a étonné dans cette soirée : lorsqu’on m’encule, je ressens bien, au plus profond de moi même, le gland qui va et vient dans mes entrailles. Je pensais que seul l’anus devait ressentir le bienfait, mais c’est bien plus que ça.
C’était bon, mais psychologiquement, je savais quand même qu’il ne s’agissait que d’une bite en plastique. Or, dans tous mes rapports, je m’efforce de donner du plaisir à mes partenaires avec la même intensité que d’en prendre moi-même. Cette bite en plastique, quel plaisir peut-elle procurer à celle qui la porte ? Sans doute la satisfaction d’un besoin de domination, sans plus. Bref, au bout de deux ou trois minutes, mon cul étant tellement assoupli, je commençai à perdre de l’intensité dans la sensation. Je me retirai et remerciai avant de repartir pour ma balade.
Dans un salon, au milieu d’un groupe de gens, je remarquai un couple étrange. Surtout elle, qui avait un physique bien féminin avec une très jolie poitrine, des seins assez gros mais pas trop, et bien fermes. Un corps mince. De longues jambes fuselées en haut desquelles s’agitait une splendide bite de forme presque conique, avec le gland assez petit et la hampe qui s’élargissait jusqu’à la base. Elle était allongée sur le dos sur un type qui l’enculait. Cette bite me plaisait et je me suis approché pour la voir de plus près. Je me suis assis à coté d’eux et j’ai doucement commencé à caresser ce joli membre. De temps en temps, je remontai ma main vers ses seins que je malaxais en douceur. Puis je me suis penché pour la sucer. Bien entendu, elle se laissa faire et, pendant que j’enfonçais au plus profond sa bite dans ma gorge, elle me caressait les cheveux. Puis il y eut un temps d’arrêt : le type qui l’enculait jouissait. Alors, elle se releva, me prit par la mais et m’amena auprès d’un divan non occupé actuellement.
Nous nous embrassâmes fougueusement. Elle me serra fort contre elle et je sentis sa bite contre mon ventre. Pendant ce temps, ses mains se baladaient vers mon cul. A l’issue de ce baiser, elle me fit mettre à quatre pattes sur le divan et elle m’encula. Elle y allait avec une grande douceur et c’est moi qui accélérai le mouvement, impatient de la ressentir au plus profond de moi. Cela dura un certain temps et elle se retira, m’annonçant qu’elle allait jouir très fort. Elle s’assit sur le divan et je la suçai de nouveau, branlant son membre activement de la main droite. Puis elle lâcha son jus, directement dans ma bouche. Je sentis ce goût légèrement sucré/salé pour la première fois. Ce n’était pas particulièrement bon, mais j’étais satisfait de donner ce plaisir à cette jolie personne.
Dans une chambre, trois filles étaient sur le lit, allongées sur le dos dans une attitude lascive. A ma vue, celle du milieu resserra ses jambes, puis, doucement, les fit monter au dessus d’elle, exhibant fièrement sa chatte épilée et son petit trou du cul. Arrivée au plus haut, elle écarta largement ses jambes, en une invite sans ambiguïté. Je m’agenouillai devant elle. Aussitôt, ses deux copines se sont légèrement relevées et ont commencé à me caresser tout le corps. L’une passait sa main de ma poitrine à mes couilles, l’autre de mes épaules à mon cul. Pendant ce temps, celle du milieu, qui s’était mise en position assise, m’embrassait goulûment, insérant sa langue au plus profond de ma bouche. Enfin, m’attirant de ses bras, elle se recoucha et me fit tomber sur elle. Je n’eus pas longtemps à chercher pour trouver l’entrée, bien ouverte et humide, et je commençai le va et vient tout en poursuivant le baiser. Les deux autres continuaient à me caresser. Je sentais leurs mains se promener sur mon corps avec, de temps à autre, un ou deux doigts qui entraient dans mon cul et me massaient la prostate. Si bien que, rapidement, je lâchai ma bordée. M’ayant senti arriver, l’une des deux filles maintint son doigt profondément dans mon anus de sorte que ma jouissance fut la plus totale.
Au moins, pendant cette soirée, j’aurai appris une chose : on jouit bien avec sa bite, mais on jouit encore mieux avec sa bite et son cul. Il ne faut pas hésiter à se servir de son cul et se ficher des préjugés de certains : ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Je poursuivis jusque tôt le matin cette exploration des plaisirs, baisant, enculant, léchant, suçant et me faisant enculer. Je me dis qu’il faudrait que je m’entraîne sérieusement afin que mon anus puisse accueillir des bites de bonne taille. Pour l’instant, je suis obligé de limiter à 4.5 cm maxi le diamètre de mes partenaires masculins. Dans la soirée, je suçai des bites bien plus larges que ça, que je ne pus accueillir ailleurs que dans ma bouche. Dommage. Ces bites m’ont appris le goût du sperme, à la fois sucré et salé, assez gras. J’en ai avalé, c’est inévitable, mais je ne l’ai pas particulièrement recherché.
J’ai vu aussi des choses étranges. Par exemple, une fille, jeune, menue et très mignonne, lorsqu’elle se mettait à quatre pattes, exhibait un anus large comme une porte de garage. Son copain y faisait entrer sa main jusqu’au poignet. Il m’invita à y mettre ma bite. Je n’y restai pas longtemps : trop large, son trou ne procurait aucune sensation. Dans une pièce, il y avait des godes de toutes tailles fixés sur un banc. Hommes et femmes s’asseyaient à la place de leur choix. J’essayai un gode un peu plus gros que ma limite, 5 cm. Ca me fit mal, même avec beaucoup de lubrifiant, mais je parvins à me l’enfoncer quand même. Je le gardai une ou deux minutes puis fis quelques mouvements de va et vient avant de me relever. Pendant l’heure qui suivit, j’eus l’impression d’avoir encore ce truc dans mon anus. Je lavai le gode et repartis me promener dans ce vaste appartement meublé de plaisirs.
La nuit commençait à finir et plusieurs convives s’étaient endormis. Je m’allongeais à côté de cette fille, petite et mignonne dont j’avais testé l’anus trop large. Après quelques secondes, elle étendit son bras sur mon torse, caressant les quelques poils qui poussent là, passant gentiment sur mes tétons pour les exciter. Elle descendit jusqu’à ma bite qu’elle commença à masser doucement. L’érection revint assez vite et elle me branla doucement tout en approchant sa bouche de la mienne. Nous nous embrassâmes longuement alors que nos mains exploraient les parties intimes l’un de l’autre. Même, nous parvînmes, tout en poursuivant notre baiser face à face, à nous mettre des doigts dans les anus, ce qui nous excita fortement tous les deux. Finalement, je la pénétrai dans la chatte, doucement, mais très à l’aise car elle mouillait abondamment. Sa chatte me parut plus serrée que son cul. Nous fîmes ainsi l’amour de manière très classique, façon « missionnaire », mais cela prit du temps. Deux fois, je l’ai sentie jouir sous moi jusqu’à ce que, à mon tour, je lâche ma bordée.
A l’issue de cette séance, je me suis endormi à mon tour. Après m’être réveillé, je suis allé dans la salle où j’avais déposé mes vêtements et me suis rhabillé. Guidé par le bruit, j’ai atteint une vaste cuisine où ça sentait bon le café chaud et le pain grillé. Les gens présents étaient pour certains, habillés, mais la majorité étaient encore nus. Après les fatigues de la nuit, je ne parvenais plus à trouver cela excitant. Je sortis à l’air libre, à la recherche de ma voiture pour rentrer chez moi.
Cela s’est passé il y a une quinzaine de jours. Aujourd’hui, je suis à l’affût de rencontres diverses et variées. J’ai autant envie de rencontrer des femmes que des hommes et, du coup, je trouve beaucoup plus de plaisir à ma vie qu’auparavant. Un peu voyeur, j’ai toujours aimé la vue de femmes nues. Aujourd’hui j’aime autant voir des bites que des chattes. Mesdames et messieurs, je le proclame solennellement, efforcez-vous de surmonter les interdits que votre éducation vous a donnés. N’hésitez pas à pratiquer l’homosexualité, il y a là aussi énormément de plaisirs à trouver. Et ça ne vous oblige pas du tout à renoncer à des relations hétéros si vous en avez envie.

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