Un beau réveil – La jouissance de Lucas

jouissance

– Oh mon chéri… C’est si beau de te regarder prendre du plaisir parce que c’est moi qui te le donnes. C’est si beau de te regarder rendre les armes. Ma langue sur ton gland… Constance lui donne un petit coup de langue.

– Mes lèvres autour de ton gland…

Elle l’enrobe de sa bouche.

– Tu es si beau, mon Lucas.

Elle pousse un soupir.

– Laisse-toi aller… au rythme du plaisir que je te donne, mon chéri… Laisse-toi aller… au rythme de ma bouche qui te lèche et qui te suce…

Elle a mon membre en bouche, et sa bouche coulisse, va et vient sur mon membre.

– Laisse-toi aller… au rythme de ma main qui te caresse les bourses…

Elle a pris mes bourses dans la paume chaude de sa main. Elle les caresse, délicatement. Elle les masse. Je geins. Je gémis. Des petits cris. Je… lâche… prise.

– C’est ça, mon amour… C’est ça ! Prends du plaisir. Lâche prise. Pour moi… Jouis… Je veux que tu jouisses ! Je veux te faire jouir. Je veux que tu jouisses dans ma bouche. Je veux sentir ton sperme chaud dans ma bouche, sur ma langue. S’il te plaît… ! Pour t’aider, je pose… une main  sur tes bourses, et je les réchauffe. Et je te prends dans ma bouche… profondément. Je te veux…
jusqu’à ma gorge. Et je vais, je viens… Je vais, je viens… Je vais et je viens…

Son désir pour moi… J’ai envie de lâcher prise. De jouir pour elle. D’ailleurs… je n’en suis plus très loin du tout, hmmm… il me semble. Sa respiration s’est accélérée au fur et à mesure que l’idée de me faire jouir, de me sentir et de me voir éjaculer sur elle est de plus en plus une réalité et qu’elle l’excite. Elle respire rapidement, beaucoup plus rapidement. Elle halète.

– Oh… Oh… Oh ! Je t’ai dans ma main… et dans ma bouche, et je vais… je viens. Je vais… je viens. Oh mon chéri…

Et moi… Je continue de sentir descendre cette boule délicieuse de plaisir le long de ma colonne vertébrale. C’est très agréable de la sentir en moi, cette boule de feu du plaisir. Constance agite sa tête pour me prendre encore et encore, profondément… toujours plus profondément dans sa bouche.

–Mon chéri…

Elle halète alors que moi aussi je halète. Je gémis. C’est tout simplement… exquis. Constance est une déesse du sexe.

– Tu la sens ma bouche sur toi, en toi ? Tu l’aimes ? Et tu aimes ma main qui caresse tes bourses?

Ses mains caressent idéalement mes bourses dans leur paume, et c’est un délice de sentir à la fois leur chaleur et leur confort sur la peau de mes testicules, et sa bouche qui va et qui vient sur mon membre. Elle me prend, et je ne peux rien y faire. Je n’ai juste qu’à savourer et à me laisser aller…

– J’ai tant envie… de te faire jouir. J’aime te faire jouir. J’aime… sentir ton sperme… chaud… sur ma main… dans ma bouche… descendre dans ma gorge… sur mes seins… sur mon ventre… en moi, quand tu me fais l’amour. Oh oui… J’aimerais bien que tu jouisses sur moi. S’il te plaît…

Sa voix a baissé d’une octave. A la limite du murmure. C’est intime. Elle me supplie de jouir pour elle, sur elle. J’en ai envie. Je le veux, moi aussi. Un coup, elle est préoccupée à continuer de me prendre dans sa bouche, encore et toujours, et de me donner du plaisir, encore et toujours. Un coup, elle aime regarder dans ma direction, et y trouver mes yeux. Elle est fascinée par les expressions de mon visage alors que je prends du plaisir, encore et toujours. Ça la fascine, et, à mon avis, ça la transcende. Constance a besoin de mettre en scène le plaisir qu’elle ressent. Par des sons. Par des mots. Par des regards. Ça lui tient à cœur de me donner du plaisir. Je le sais parce que ça revient souvent dans nos discussions sur l’oreiller, post-sexe. Elle est beaucoup attachée à me donner du plaisir. La perspective de me faire jouir revêt une importance toute particulière à ses yeux. Elle me regarde, ses yeux braqués sur les miens. Elle me regarde, sans dire un mot, attendrie. La petite coquine a fait place à ma petite amie : une jeune femme follement amoureuse dont mon plaisir est la priorité.

La boule de feu du plaisir continue de descendre.

Le plaisir a pris possession de moi.

Le plaisir est en moi.

Le plaisir fait partie intégrante de moi.

Je ne vais plus pouvoir me retenir.

Je gémis.

Je ne boude pas mon plaisir.

Je crie mon plaisir.

Ça pousse Constance à ne plus me prendre dans sa bouche. Elle sait que je suis sur le point de jouir. Elle a un sixième sens, un cinquième as. Elle me connaît bien.

(…)

D’une main, elle me masturbe. De l’autre, elle se caresse un sein. Elle se lèche les lèvres. Elle a envie que je jouisse… Constance m’a repris dans sa main. Elle tient fermement, maintenant, ma queue autour de sa poigne. Elle me branle plutôt énergiquement à présent.

– Tu aimes quand je te branle comme ça, Lucas? Tu as envie de jouir ? Tu en meurs d’envie, de jouir ?

Constance sait parfaitement qu’il s’en faut, maintenant, de très peu, pour que je jouisse. Elle seule sait y faire pour me faire jouir.
– Tu aimes que je me touche et que je me caresse les seins pendant que je te tiens fermement dans ma main et que je m’apprête à te faire jouir ?

Sur ces mots, je lâche prise. Je ne pense à rien d’autre. Constance m’excite tellement. Énormément. Je ne demande que ça… ! Jouir… pour… elle.

– Ça t’excite que je me donne du plaisir alors que je te masturbe et que je ne demande que ton sperme sur moi ? Petit coquin! Lucas… Jouis ! Oh… S’il te plaît… ! Tu… m’excites, mon chéri !

Si tu savais à quel point tu m’excites aussi, Constance… Je ne demande que ça, tu sais ! Jouir sur ton corps… en guise de remerciement… de cadeau.

– Tu les aimes, mes petits seins ?

Elle continue de se caresser le sein qu’elle avait pris dans sa main, toute à l’heure, au moment où elle avait arrêté de me sucer et qu’elle avait recommencé à me branler. Elle en pince doucement le téton. Toujours et encore…

– Mes petits seins tout mignons… Tu aimes les caresser ? Les toucher ? Les embrasser ? Les téter ? Les lécher ? Moi… je le sais…

Tout en me branlant énergiquement mais tendrement, tout en se caressant les seins de son autre main, elle me regarde droit dans les yeux et elle se lèche les lèvres. Elle tire la langue à d’autres moments aussi. Elle y tapote mon gland. Que… c’est… bon… Elle me signifie que ça l’excite, elle aussi, et qu’elle me désire… Je suis tout ému ! Cette émotion me fait rapprocher, encore plus, non seulement du précipice, mais aussi et surtout, de ma Constance. Je suis un homme à la mer. Un homme perdu. Il ne me reste plus qu’à céder… et à me laisser jouir.

– Je les aime, mes seins, vois-tu… Mais… C’est quand même dommage, à certains égards… Si j’avais eu des gros seins… Je veux dire… Des seins un peu plus gros… Tu aurais pu… y glisser ta belle queue entre eux deux et qu’elle y soit bien au chaud… Tu t’y serais… masturbé… Tu… aurais coulissé entre eux, et ça aurait été agréable. J’aurais… humidifié le clivage de mes gros seins
avec ma salive et… ça aurait été… jouissif, non seulement pour toi mais aussi… pour moi… Je t’aurais aidé à jouir, ça, tu le sais. Tu peux me croire ! Et, tu… aurais éjaculé sur mes seins.

Hmmm…

Constance fait un bruit de plaisir. Un bruit sexy. Constance m’excite encore plus, surtout après qu’elle ait dit ça. Même si l’imaginer avec des seins plus généreux m’excite, j’aime et je désire Constance telle qu’elle est.

– Constance chérie… Amour… Tes seins sont beaux comme ils sont, tu sais ! Je t’assure ! Et bien qu’ils soient petits, je te l’accorde… Je les adore et ils me plaisent ainsi. Ils m’excitent. Oh… oui ! Si ça ne tenait qu’à moi, j’y déposerais volontiers… ma semence d’amour… avec amour.

– Mon Lucas…

– Tes seins sont beaux comme ils sont, Constance. Petits mais très mignons. Tu es belle comme tu es, Constance Moreau ! Quand vas-tu le réaliser ? Quand tu n’es pas là, je pense à toi et… je pense à ces deux petits seins. Cachés sous ta tenue soi-disant sage de professeur documentaliste, là-bas, au collège où tu bosses. Je t’aime, Constance Moreau. Je suis encore si fou de toi, même avec les années.

Constance braque ses yeux dans les miens. Elle me fixe. Ses yeux sont brillants. Ils semblent lui piquer, comme elle dit, quand elle est émue. Et là… l’émotion prend possession d’elle. Elle est toute émue ! Constance Moreau est émue ! Eh bien… ! Je… l’aime.

– J’ai bien aimé ce que tu viens de me dire là. Moi aussi, je t’aime, Lucas Monnet. Amour…

Je me sens belle à travers tes yeux. Je me sens belle, adulte et sexy, dans mon corps et dans ma tête. Elle se caresse son autre sein, sous mes yeux. Constance s’exhibe devant moi, et je l’aime. Elle sait qu’elle m’excite, la petite coquine, et elle en joue ! Elle s’en amuse… Elle en attrape le téton de ses doigts. Elle le pince. Mon dieu… cette femme est juste… sexy. Vraiment. Vous pouvez
dire ce que vous voulez. Constance Moreau est la femme la plus sexy de la Terre. Du moins… elle l’est à mes yeux.

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