Un beau réveil – La jouissance de Lucas – Chapitre 2

jouissance de Lucas

Constance est, du moins à mes yeux, la femme la plus sexy de la Terre.

Je halète. Beaucoup. Je n’ai plus envie de me retenir. Elle m’a donné beaucoup de plaisir. Beaucoup, beaucoup. Le plaisir ne me suffit plus désormais, je le sens. C’est la jouissance que je veux ressentir. L’exprimer… Lui exprimer à elle, à travers mes yeux qui se ferment, une grimace de plaisir intense sur mon visage. A travers mes gémissements, mes soupirs, mes petits cris. A travers
mon corps qui se contracte. Oui… je n’ai plus envie de me retenir. Plus maintenant…

Constance, avec sa main, va et vient. Elle halète, elle aussi. Un coup, ses yeux sont sur mon membre dont elle se délecte et qu’elle branle de plus en plus vite, et c’est toujours aussi agréable. Qu’est-ce que c’est… bon… Putaaaaiiiiin… J’ai décidé d’arrêter de lutter. J’ai renoncé, et je me sens prêt à jouir en paix, à présent. Je me tiens prêt à jouir. Un autre coup, Constance fixe mon
visage et cherche à y capter la moindre expression de plaisir qu’elle peut lire.

– Mon chéri… Oui… ! Oui… ! OUI ! Je continue car j’ai envie que tu jouisses. MAINTENANT ! J’ai envie que tu me jouisses sur les seins. Et je vais, et je viens… Je vais… Je viens… Je vais… et je viens…

C’est comme si c’était une mantra. Ses mots m’excitent autant que sa main. D’égal à égal. Autant que sa bouche. Autant que son corps magnifique dont elle doit absolument être fière. Je me sens prêt à exploser… Je SUIS prêt à exploser. Je le veux. Il n’y a que Constance pour me donner du plaisir.

Seule Constance sait autant bien me faire jouir. C’est tout simple : Constance est ma première petite amie. Et, j’espère bien… la dernière. Elle est la seule, l’unique. Je n’ai aucun point de comparaison, et c’est tout aussi bien ainsi. Je lui donne en cadeau ce que j’ai de plus intime. D’une main, Constance me masturbe.  Et… c’est toujours aussi intéressant, même sur la durée, même en dépit des années qui passent. Oh… oui…

De ses yeux, elle me fixe. Elle est et reste à l’affût du moindre signe qui lui confirme qu’elle sait décidément me baiser, comme elle seule sait me baiser. Elle a arrêté de se caresser. Ma coquine de petite amie se focalise maintenant sur MON plaisir. J’en suis tout ému. Je la regarde avec les yeux de l’amour. Je lui en suis reconnaissant. A l’occasion, d’un prochain beau réveil, il se pourrait que… ce soit à elle de se laisser faire… Oh… !

J’ai déjà tout en tête… Quand mes doigts et ma bouche seront sur elle… en elle… J’ai déjà la conviction que je serai capable de donner du plaisir à Constance, comme jamais… La finalité n’est pas de la faire jouir à tout prix, mais… ce serait mentir si je disais que ce n’est pas ce dont j’ai envie.

Son visage… Ses lèvres… Sa langue… Ses oreilles… Son cou… Sa nuque… Son dos… La tendre vallée de sa poitrine… Ses deux jolis petits seins tout mignons… Son ventre… Son nombril… Son mont de Vénus, son joli duvet de poils… Son clitoris… Sa jolie petite chatte toute appétissante… Son anus… La veine poplitée de ses genoux… Ses hanches… Ses cuisses… Ses petits pieds tout mignons… Oh… Les possibilités sont bel et bien diverses et variées… Oh… oui !

La boule de feu du plaisir, partie de ma nuque, lentement mais sûrement, a fait son petit bonhomme de chemin. JE LA SENS ! Elle… m’atteint… ICI… MAINTENANT.

Je gémis… Je gémis… Je gémis…

Je ferme à moitié les yeux…

Je halète…

Je soupire…

Je sens le sang qui irrigue les veines de mon membre et qui le rendent si dur…

Je sens le sperme quitter le fleuve de mon plaisir et parvenir, ENFIN, à son estuaire. Mon méat est la mer de ma jouissance. Ce méat que Constance a su caresser… titiller… et éveiller aux plaisirs de la chair…

Je suis parti pour… Je suis parti pour… Oh !

C’est si bon… Si… bon… Oh !

Je pense et repense à Constance, toute entière…

Je la désire…

J’ai envie d’elle… Encore et encore… Encore et toujours…

Et là, je me mets à genoux. Je m’accroupis. D’instinct, Constance, elle, s’allonge…

Oh… Oh… OH !

Ooooooooooohhhhhhhhhhhh… Je crie mon plaisir. Je ne le boude pas. Je ne le boude plus.

JE… JOUIS… JE JOUIS !

Je crie. Peu m’importe si je fais un vacarme du diable. Constance me fait jouir ! Je jouis longuement sur les petits seins de Constance. Je les arrose de ma jouissance. Ce sont des petits jets de sperme que je répands, en témoignage et au nom de mon amour et  de mon désir pour elle.

Constance est belle, et je l’aime. Pour toujours, et à jamais. Putain de beau réveil… !

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