Quelques semaines plus tard, Clarisse fit une rencontre qui changea sa vie. À 40 ans, elle s’était acceptée comme femme mariée mais croqueuse d’hommes qui se caressait plusieurs fois par jour, en rêvant à de nouveaux amants.
Elle pensait justement à Hubert, qui les avait initiés au candaulisme. C’était une fin de journée de travail éprouvante, elle se sentait lasse, il était 19h00. À contrecœur, elle alla au pot de départ de Sarah, une jeune stagiaire à qui elle avait promis de passer. Clarisse l’aimait bien, malgré ses vingt ans de moins. Elle avait, comme elle, une forte personnalité, fille moderne dans un monde de mecs. Elle était frivole et bien dans son corps; le genre de fille qu’elle aurait voulu être à son âge. Clarisse était appréciée par les jeunes employés car elle s’intéressait à eux, fait rare pour une membre du comité de direction. Elles discutèrent donc toutes les deux en enchaînant les coupes de champagne. Clarisse avait des envies de fêtes et les confessions de la stagiaire sur ses expériences amoureuses étaient captivantes. Sa réputation n’était pas usurpée ! Clarisse fut se sentit en confiance. Elle lui raconta donc sa vie de femme mariée mais libre ce qui plût énormément à Sarah, sans la surprendre, car son infidélité était connue dans la boîte, Clarisse ne se cachant plus. Il était 21h00, et elles n’étaient plus que toutes les deux. Sarah lui proposa de la suivre dans une avant-soirée chez deux amis en collocation .
– Venez, ce sont juste deux beaux mecs sympas, très atypiques. Ils seront ravis et je serai très fière de venir avec une manager, je n’ai qu’à les prévenir par texto !
Elle accepta et, après avoir elle aussi prévenu Franck, elle aperçut Sarah finir son message par « …Elle est parfaite ». Puis elles quittèrent la salle utilisée comme salle de réception de fortune et prirent le tramway.
Le trajet fut rapide et elles rirent beaucoup. La compagnie de Sarah était un bain de jouvence, elle était tellement drôle ! Le froid les saisit quand elles durent descendre. Clarisse suivit la Sarah. Le quartier de cette banlieue était un peu glauque: les rues étaient désertes, bordées de maisons mal entretenues, et l’immeuble dans lequel elles entrèrent était le pire. Une odeur rance avait envahi l’escalier. Elles montèrent les deux étages, toutes les deux hilares en médisant sur leurs collègues. Arrivées à l’appartement, Sarah ouvrit la porte et se dirigea vers le salon. Elle était visiblement une habituée. Deux jeunes hommes étaient assis sur un vieux canapé en cuir. Ça sentait l’homme ! Une petite table et un meuble bas de télé étaient les seuls meubles face à eux. De nombreuses bouteilles traînaient ainsi que des cendriers. sur les murs délavés quelques photos dont des jeunes femmes dans des tenues sexy. Elle se trouvait en pleine bohème, pas vraiment le style de soirée de Clarisse ! Le premier se leva et lui fit la bise. Il s’appelait Enrico et se présenta comme un marchand de l’amour. Clarisse ne put s’empêcher de rire de cette drague à deux sous qu’il devait sortir à toutes les femmes. Il était en réalité barman et rêvait de devenir acteur. Il était très mignon, canon même ! Un beau brun Latino venu d’Argentine, aux cheveux courts, assez baraqué, pas très grand mais de beaux yeux noirs perçants et une peau très mate, il devait avoir entre 25 et 30 ans, un séducteur au style voyou. Clarisse fut de suite charmée par sa prestance, sa beauté, son accent. Son coup de foudre était visible, ce que lui confirma le sourire de sa stagiaire et le regard de son autre copain. Lui s’appelait Romain et venait de Tarbes. Un plutôt beau mec aussi, châtain, de beaux yeux bleus, barbu, plutôt fin, la peau très pale, mais une forte odeur de transpiration. Il était barman également mais rêvait d’être musicien. Clarisse le jugea plus jeune. Ils étaient tous les deux en jeans et t-shirts et Clarisse sentait qu’elle détonait avec sa robe stricte bleue, ses bas et ses chaussures à talons aiguilles. Ils l’invitèrent à s’assoir avec eux sur le canapé. Elle avait beaucoup bu. Sa tête tournait. La proximité de ces corps de mâles jeunes commençait à l’exciter. Elle céda quand ils lui servirent des verres de liqueur. Enrico mit de la musique, un tango, et commença son numéro. Il raconta l’Argentine, son départ pour l’Europe, son apprentissage du français comme barman dans un club pour adulte parisien où il avait rencontré Romain qui bossait là-bas également; ils bossaient toujours tous les deux pour le même employeur et allaient d’un club à l’autre. Sa discussion était un délice, remplie d’anecdotes croustillantes, le son de sa voix était incroyablement sexy, et son regard semblait déshabiller Clarisse. Ses mains effleuraient ses bras quand il parlait. Elle frissonnait et était toute mouillée. Ses yeux pétillaient, son cœur battait fort, elle rêvait des lèvres du beau jeune homme. Clarisse posa ensuite des questions sur ce monde de la nuit et du sexe, qui la rendait tant curieuse , avant de raconter sa propre expérience des hommes et de l’amour libre. Sarah, qui discutait avec Romain, se leva pour partie car elle devait rejoindre des amis en soirée. Clarisse voulut la suivre et tituba, mais Enrico la retint par la main droite pour l’empêcher de tomber… Elle sentit une main caressant ses fesses pour la première fois. « Vous devriez rester un peu Clarisse, vous n’êtes pas en état et nous avons encore des choses à nous dire » dit Enrico. Elle rougit, elle ressentit de la peur mais aussi un irrésistible besoin d’aventures. Elle oublia son travail,ses enfants, son mari ; Elle n’arrivait pas à refuser.
– OK, c’est peut être plus raisonnable… Je vais prendre un taxi quand je me sentirai mieux….Merci Enrico et Romain de me supporter encore un peu. Alors à demain Sarah pour la dernière.
-A demain, amusez vous bien.
Sarah semblait mal à l’aise et elle partit après avoir fait la bise aux deux jeunes hommes qui la remercièrent chaleureusement de leur avoir amené Clarisse.
Une fois seuls, elle se retourna vers eux.
– Merci, je suis désolée j’ai la tête qui tourne.
Ils sourirent en s’échangeant un regard complice. Ils se levèrent en même temps et entourèrent la jolie femme. Leurs démarches étaient viriles, puissantes.
– Vous savez, nous aimons les femmes comme vous Clarisse et comme nous travaillons dans le milieu du sexe, nous ne sommes pas seulement barmen, nous aidons notre patron à développer son business. Nous cherchons à créer un nouveau club chic pour les PDG ou notables… Et vous, femme libre, de nombreux amants… Ça vous dirait de nous rejoindre comme hôtesse VIP ? Ça doit vous sembler dingue mais nous pouvons pimenter votre vie, sans modifier votre situation actuelle, discrétion garantie ! Il vous faudrait simplement vous libérez un soir par semaine…Qu’en pensez-vous ?
Elle les regarda avec curiosité. Ces mecs étaient vraiment inconscients ! Elle sentit les mains d’Enrico sur ses fesses et son cou, alors que Romain caressait son bras et ses hanches. Elle eut un frisson de plaisir, ses seins pointaient. Elle avait perdu toute volonté de s’opposer à eux mais repensant à leur proposition farfelue, elle éclata de rires.
– Désolée … Ça a l’air complètement fou et j’adore mon travail, j’ai tellement bossé pour, je ne veux mettre ni cela ni la réputation de mon mari en danger. Et il y a trop de femmes exploitées pour rentrer là dedans.
– Je comprends, mais vous devriez réfléchir et sortir des clichés. Il y a de nombreux dirigeants qui fréquentent notre club, des gens très hauts placés, il s’agit d’établissements libertins de classe, pas des bordels miteux. Laissez-nous au moins vous…essayer ce soir, ici, entre nous. Nous pourrons voir qui vous êtes vraiment et si vous êtes faite pour une telle vie. Nous sommes loin des histoires morbides répandues par la société. Et puis, demain matin vous serez de nouveau Clarisse, mariée et mère, infidèle, directrice dans les assurances…mais ce soir, essayez de vous projeter dans cette vie que nous proposons. Nous prendrons des photos et des vidéos de cette soirée avec votre smartphone, libre à vous de les regarder, les diffuser et de revenir vers nous pour devenir la femme que vous êtes vraiment…ou de les effacer et de nous oublier. Vous ne courez aucun risque, mais une fois que vous connaîtrez ce plaisir, il vous sera dur de l’oublier.
Ils la caressaient à travers sa robe. Leurs mains étaient fermes et douces. Romain commença à embrasser le lob de son oreille délicatement.
Elle pencha sa tête pour offrir sa gorge à leurs baisers. Enrico y déposa de nombreux baisers. Elle ferma les yeux, extatique, et murmura » Vous êtes gonflés… ok, j’accepte de jouer avec vous, mais juste ce soir, même si j ai peur de ne pas être en état « . Leurs mains et lèvres parcouraient son corps. Ils se tapèrent dans les mains. Elle pouffa.
-Très bien ! Vous êtes prête ? Je vous préviens c’est un peu hard, mais je veux vous montrer la réalité des rencontres sexuelles dans notre club. Vous n’y serez jamais forcée, vous pouvez très bien juste discuter toute la soirée mais si vous participez avec les invités, cela dégénère assez vite. Ne nous en voulez pas si non changeons de comportement envers vous, ce sont des scènes qu’il faudrait jouer toutes les semaines.
– Prête !
– Bon… Tu es désormais Flore, c’est ton nom pour la soirée et si tu nous rejoins, ce sera ton seul nom. Répète-le !
-Je suis Flore.
Enrico claqua sa joue, soudainement. Clarisse la sentit brûler. Elle rit de surprise en se frottant le visage.
– Hé, Ça va pas ???
-Mieux que ça ! Et je suis Monsieur Enrico ! Donne ton téléphone à Monsieur Romain tu vas le refaire… À partir de maintenant il te filmera. Allez petite salope, ne nous fait pas perdre notre temps !
Il la gifla de nouveau…elle sentit l’énervement et la brûlure mais, par fierté, voulut lui montrer qu’en matière de sexe hard, elle avait du répondant.
« Ah c’est comme ça…Je suis FLORE, Monsieur Enrico! » dit-elle en regardant fixement le téléphone qu’elle venait de donner à Romain. Elle ne put s’empêcher de rire.
– Très bien, Et quel est ton métier flore ?
-Je suis responsable… Dans les assurances…
Il éclata à son tour de rire.
– Oh non flore, tu te fous de moi ?? … Toi, tu es une petite chienne pour le plaisir des autres, une soumise quoi … Dis-le ! Comme si nous étions tes clients !
Elle eut un temps d’hésitation, il la gifla de nouveau plus fort, elle sentit la douleur sur son visage.. « Je Suis Flore.. Votre chienne »
– C’est mieux… tu vas enlever ta robe mais garder ta lingerie et tes talons, tu vas nous provoquer, n’oublie jamais qui tu es.
– Oui monsieur.
Enrico la gifla un peu plus fort cette fois.
– Monsieur Enrico ! Tu es sourde ? Recommence !
– Oui monsieur Enrico.
Clarisse dégrafa sa robe et la fit glisser. Elle se sentait objet de plaisir dans son ensemble noir de lingerie, en bas et talons. Et surtout, elle voulait absolument prouver à ses deux jeunes mecs qu’elle était à la hauteur.
Elle les embrassa à pleine bouche l’un après l’autre avec envie et vigueur. Elle était prête à tout.
Tout en filmant, Romain passa sa main entre ses cuisses, elle gémit quand il appuya ses doigts sur sa fente à travers la dentelle.
– Et bien flore tu es trempée ! Je crois que nous avions vu juste Enrico !
– Regarde cette petite brune avec une taille fine mais un gros cul et de gros seins superbes…tu es née pour plaire et servir. Nous allons te former, es-tu contente ?
Pour éviter une nouvelle gifle elle acquiesça et murmura entre deux baisers.
– Oh oui, monsieur Enrico.
– Une bonne salope doit être folle de sexe, nous allons nous assoir sur le canapé et tu vas te masturber, assise sur la table basse…allez vas-y.
Clarisse était déjà devenue flore. Elle poussa les bouteilles, s’assit sur la petite table et écarta les cuisses… Elle pressa ses seins à travers son soutien-gorge et passa une main dans son string. Elle caressa sa fente, glissa son doigt entre ses grandes lèvres et se mit à doigter son vagin puis frotter son clitoris. Elle sentit un premier spasme dans son ventre. Elle gémit, regarda les deux hommes de manière provocante. Ils souriaient, Romain la filmant toujours. Elle s’exhibait naturellement et adorait ce moment.
– Tu es très belle flore… te rends-tu compte de ce que tu fais ? Sais-tu pourquoi ?
Clarisse plissa les yeux et commença à crier de plaisir en se cambrant et jouant avec son vagin.
– Parce que c’est trop bon monsieur Enrico, et parce que je suis une droguée de sexe…j’adore être une chienne.
-Tu peux aussi t’appeler salope si tu préfères… Mais oui, il est évident que c’est naturel chez toi, Sarah avait raison…elle travaille aussi avec nous tu sais… C’est elle qui t’a repérée…Danse pour nous, sois plus lascive; désormais tu ne vis que pour être baisée.
Clarisse surprise par les révélations sur Sarah se leva et se mit à danser, ondulant et continuant à se caresser. Ses oreilles bourdonnaient, son cœur battait fort.
– Approche toi et bouge tes grosses fesses.
-Oui, monsieur Enrico.
Elle se cambra, se lança dans un twerk, se frottant contre la braguette de Romain puis d’Enrico.
Ils rirent tous les trois et leurs mains se mirent à la caresser et la fesser à tour de rôle. Ses fesses rougirent. Ils tapaient fort, elle dût se mordre les lèvres et se retenir de ne pas sangloter.
– Tu encaisses très bien les fessées ! Penche toi, nous allons jouer avec ta chatte.
Elle obéit, les mains sur la petite table, elle leva ses fesses… Les deux hommes retirèrent son string.
– Enrico, c’est une chatte de nympho ça ! Regarde. Elle doit se faire défoncer tout le temps !
Ils commencèrent à la doigter vigoureusement. Romain la filma en gros plan..
Clarisse mouillait et criait, couvrant à peine le bruit des doigts qui allaient et venaient en elle, tout au fond de son vagin.
– Ahhhh….Baisez-moi, je vous supplie de me baiser….Ahhhhhh.
Cette supplique lui échappa.
– Très bien flore… Tu le mérites, tu es une bonne soumise.
Ils baissèrent leur braguette et sortirent leur queue. Ils bandaient dur tous les deux. Romain avait un très gros sexe, long, circoncis, un gland bien dessiné . Il prit ses cheveux lisses et longs, la retourna, la mit à genoux et s’enfonça au plus profond de sa bouche sans prévenir. Immédiatement, par réflexe, la petite brune ouvrit grand sa bouche, mit ses mains derrière son dos et avala la bite jusqu’à la gorge. Sa langue passait sur le jeune chibre, elle suçait et léchait comme affamée, dévorant le sexe.
– Ahhh ! mais regarde la ! Quelle incroyable suceuse, elle me pompe et baise sa bouche, je n’ai rien à faire..
Romain fit sauter son soutien-gorge et se mit à lui pincer les seins. Enrico visiblement s’économisait, se contentant de demander à clarisse de le masturber avec sa main gauche. Après quelques minutes, Romain gicla dans sa bouche.
Clarisse adorait le goût du sperme, elle avala ce qu’elle put mais Romain ne s’arrêtait plus et la semence dégoulinait sur son menton… Enfin, il se retira de sa bouche et Clarisse put inspirer une grande bouffée d’air. Son maquillage coulait, sa bouche couverte de foutre et de salive.
– Ahhh.. sublime flore.. Fais un grand sourire à la caméra… Tu aimes ça n est ce pas ? Tu aimes les hommes qui prennent ta bouche ?
– Oui… Oui, monsieur Romain… J adore le sperme.
– A mon tour, tu dois être habituée à satisfaire plusieurs hommes.
Enrico l’attrapa par les cheveux et la fit se lever. Il la plaqua contre le mur, les jambes écartées, le dos cambré. Il la pénétra par derrière, poussant sa tête et ses seins contre le mur. Clarisse avait espéré ce moment toute la soirée. Enrico la rendait folle, sa queue paraissait remonter jusque son ventre.
Romain n’en ratait pas une miette.
– Allez petite chienne, tu vas jouir maintenant, je te l’ordonne !!
Clarisse folle de plaisir sentit l’orgasme exploser en elle. Elle hurla et son jus trempa le membre d’Enrico..
Il sourit, se retira et pressa son gland contre l’anus de Clarisse.
– S’il vous plaît, monsieur Enrico, faites attention, je… je…suis très sensible.
– Et alors ? Tu as trop de talent pour ne pas apprendre celui-la flore.
Il la fessa et l’encula d un coup… Clarisse creusa ses reins, essaya de se détendre mais criait de douleur.
Enrico s’emballait, et visiblement adorait ça… Clarisse caressait son clitoris et pinçait ses seins pour détourner la sensation du sexe en elle… Cela dura plusieurs minutes… Jusqu’à ce qu’il jouisse et se retire, laissant Romain filmer son anus dilaté et dégoulinant… Il la relâcha… Clarisse tomba épuisée sur le sol.
– Tu vois… Tu es faite pour ça… Tu as été sublime flore…normalement je te ferais nous nettoyer avec ta bouche, mais pour une première c’est déjà très bien.
Délicatement, Enrico la prit dans ses bras et l’amena sur un grand lit en la couvrant de baisers… Elle se blottit contre lui.. Épuisée, saoulée de bites et d’alcool, elle sombra dans le sommeil peu après avoir cru entendre Enrico dire à Romain… « transfère la vidéo au boss… On a trouvé une perle… »
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