Première anale pour Mélissa

Lors du réveillon de Nouvel an chez des amis, j’ai rencontré Mélissa, une jeune femme de mon âge avec laquelle j’ai sympathisé rapidement si bien que lorsque la fête s’est terminée, au lieu de lui laisser attendre le premier métro, je l’ai conduite à la gare où elle devait prendre un train pour rentrer chez elle.

À cette époque, je traversais une période difficile sur le plan sentimental…

Avec Sandra, ma copine du moment, ce n’était que disputes, chamailleries, jalousie si bien qu’avant les fêtes de fin d’année, nous avons décidé de prendre un peu de recul pour réfléchir à l’avenir de notre situation.

Début janvier elle m’a adressé un message en disant qu’elle avait ( enfin ) trouvé du boulot près de ses parents à l’autre bout de la France… et que quelqu’un passerait chercher ses affaires que je devais emballer pour le weekend suivant.

Donc… Tout était terminé…

J’étais libre à nouveau de papillonner, de butiner de nouvelles fleurs !

Lors de cette fameuse soirée de réveillon j’avais beaucoup dansé avec Mélissa, nous avions quelque peu flirté mais il ne s’était rien passé entre nous…

Nous avions juste échangé nos numéros de portable…

J’espérais toujours renouer avec Sandra avec qui je vivais depuis un peu plus de deux ans…

A 30 ans, j’estimais qu’il était temps de nous ranger… Hélas… hélas… hélas !

Janvier a passé…

Je pensais que je ne reverrais plus Mélissa quand j’ai reçu un message me demandant ce que je faisais pendant les prochaines vacances scolaires.

Comme il était plus facile de se parler, je l’ai appelée aussitôt et nous nous sommes expliqués : Elle avait loué un studio à la montagne avec une des ses collègues enseignante pour la durée de l’interruption des cours… mais cette dernière devait se désister pour soigner son vieux père qui sortirait de l’hôpital à cette période…

J’étais moi aussi enseignant dans la même zone géographique, ce qui fait que j’étais libre de mon temps.

Aucun projet n’avait été fait avec Sandra, qui de toute manière n’aimait pas la neige !

Nous avons convenu des modalités du séjour…

Nous ferions le trajet de Paris à la station des Arcs avec ma voiture. Il était impossible d’avoir une place dans un train avec un délai aussi court… En plus, nous pourrions visiter la région si par malheur la neige faisait défaut… et notamment « les chemins du baroque » qui jalonnent la région.

Le dernier vendredi, je n’avais pas cours l’après-midi.

Mes affaires étaient prêtes, je n’avais plus qu’à les charger dans la voiture et sangler les skis sur la galerie et prendre la route d’Auxerre.

Le détour par la ville ne serait pas bien long et vers 19 heures, je retrouvais Mélissa qui m’attendait en bas de chez elle.

Nimbée par la lumière d’un lampadaire, elle était aussi belle en sportive qu’en robe de soirée : pantalon de ski très ajusté sur de longues jambes, chaussée de bottines en cuir fauve, un anorak aux couleurs vives cachant à moitié un pull à col roulé et les longs cheveux noués en queue de cheval… Très légèrement maquillée, Mélissa était très séduisante ainsi.

Embrassades… Chargement de ses bagages… et en route…

Nous nous sommes relayés pour faire le trajet si bien que nous sommes arrivés de bonne heure au pied de la route montant à la station.

Rapide déjeuner dans un des nombreux restaurants puis les achats de vivres avant de monter au pied des pistes proprement dit. Nous étions parés pour les premiers jours du séjour.

Après notre installation à la station ARCS 1800 nous sommes allés chercher nos forfaits et les chaussures de ski dans une de nombreuses boutiques puis nous sommes revenus au studio aménagé avec d’autres appartements dans un immense chalet-hôtel.

En fait, notre hébergement était prévu pour 4/6 personnes… avec une pièce avec un grand lit, une cabine avec des lits superposés et un convertible dans la pièce à vivre.

C’était génial… Je dis à Mélissa :

  • Je te laisse la chambre avec le grand lit, je prendrai le lit du bas dans la cabine.
  • Tu n’es pas bien ? Tu vas me tenir chaud… On verra bien ce qui se passera !
  • Si tu le vois comme çà, je suis partant… mais je te préviens, je te trouve très à mon goût, je risque de ne faire qu’une bouchée de toi ! Je suis à jeun depuis quelques temps déjà.
  • Moi aussi… Plus de mec depuis l’été et ce ne sont pas les quelques séances de masturbation au gode qui peuvent m’avoir suffi !
  • Je ne te garantis pas d’être sage… avoir une jolie fille comme toi à côté de moi dans le lit…
  • On verra… De toutes les façons, nous sommes majeurs, libres de toute attache…
  • Ok… çà marche !

 

Pour le repas du premier soir, nous sommes descendus au restaurant du chalet qui était très animé avec la majorité des nouveaux arrivants.

Un petit orchestre mettait de l’ambiance et la piste de danse nous tendait les bras… mais nous ne sommes pas restés longtemps… La fatigue de la route a eu raison de nous.

J’ai rapidement cédé ma place sous la douche et je me suis couché… et pyjama court car je supporte mal d’être entravé sous les draps… Très souvent, je dors nu !

Quand Mélissa est arrivée, elle portait un pyjama en tissu opaque qui loin de cacher ses formes les mettait en relief…

Elle s’est glissé dans les draps en me disant de lui tenir chaud…

Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre comme un vieux couple !

C’est au matin que tout a basculé…

Mélissa s’était retournée au cours de la nuit et me tournait le dos, ses fesses logées contre mon pubis…

Comme souvent le matin, je m’étais réveillé avec une érection triomphante… Je ne sais pas si elle l’avait sentie dans son demi-sommeil, toujours est-il qu’elle a commencé à s’agiter et à frotter ses fesses contre cette protubérance.

J’ai glissé une main sous sa veste de pyjama et je l’ai posée sur l’un de ses seins dont j’ai trouvé l’aréole saillante : elle aussi était excitée !

  • Humm ! Continue… c’est bon !

Fort de cet encouragement, j’ai continué de lui caresser la poitrine mais Mélissa s’est dégagée et en se relevant, elle a ôté son haut puis le bas de son pyjama en me disant :

  • Aime moi… j’en ai envie et toi aussi si j’en crois ce que j’ai senti !
  • C’est vrai… te sentir contre moi… que c’était bon !

Nus tous les deux, Mélissa s’est allongée sur le dos et doucement je me suis approché d’elle… Mon sexe face au sien, sans autres préliminaires, je me suis introduit dans son vagin qui était chaud et humide…

Dans le clair obscur de la chambre, je la découvrais un peu plus : une poitrine menue mais bien ronde et haut perchée que j’avais sentie lors des slows du réveillon, une toison de brune assez fournie mais visiblement disciplinée… Bref, une jolie femme !

Les bras tendus de chaque côté, j’ai commencé à aller et venir en elle dans une position des plus classiques… tout en retenant la montée de mon plaisir…

Mélissa a joui une première fois, une jouissance discrète au point que j’ai pensé qu’elle s’était retenue de ne pas la manifester de manière bruyante !

Lorsque j’ai repris mes mouvements de va et vient, elle m’a incité à la prendre plus fort…et à me lâcher !

Sa deuxième jouissance est arrivée pratiquement en même temps que la mienne… et je me suis déversé dans cette chatte accueillante !

Et c’était bon !

Nous ne nous étions pas posés de questions… Mélissa m’avait demandé de me lâcher… donc elle voulait me sentir gicler en elle !

Les jours suivants, nous nous sommes couchés nus et comme si cela était devenu une douce habitude… nous faisions l’amour chaque matin avant de prendre le petit déjeuner…

Cela semblait nous mettre en forme pour la journée et nous nous défoulions sur les pistes…

Le soir, nous étions parfois bien fatigués après une journée à dévaler les pistes tous les deux, tout au plaisir de sentir le vent nous fouetter le visage… et à danser une heure ou deux avant de regagner notre nid d’amour.

Le soir, c’étaient de longs bavardages au cours desquels nous nous confions nos diverses désillusions amoureuses…

Mélissa m’expliquait qu’elle avait connu assez peu d’hommes depuis qu’elle avait été déflorée et qu’elle avait eu quelques aventures féminines mais ces dernières la laissaient insatisfaite : Elle aimait bien sentir un beau membre viril se lâcher dans sa chatte !

  • Et tu n’as jamais ouvert la porte arrière ?
  • Non… Un de mes amants a tenté de me pénétrer mais j’ai eu trop mal et il n’a pas continué !
  • Tu n’as jamais eu envie de recommencer ?
  • Tu as pu voir que je suis chaude, que j’aime baiser… j’aimerais bien pouvoir ressentir ce que cela fait !
  • Tu sais, cela ne s’improvise pas sinon, les premières fois seront douloureuses et tu te refuseras toujours !
  • Je ne demande qu’à te croire ! Tu as l’air de savoir t’y prendre ?
  • Non… pas particulièrement… si j’aime bien sodomiser une femme de temps à autre, ce n’est pas ma pratique préférée… j’aime surtout varier les positions !
  • Oui… j’ai vu… Je ne connaissais pas certaines postures que tu m’as fait prendre… En dehors des positions du missionnaire, de la cuillère et de la cavalière, je ne connaissais pas l’amazone ni la levrette…
  • Et alors ?
  • J’ai bien aimé la levrette !
  • Moi aussi, j’aime bien cette position… On est libre de nos mouvements… c’est aussi avec la cuillère la position où il est le plus facile, selon moi, de sodomiser sa compagne !
  • À t’entendre, tu aurais bien envie de m’ouvrir la porte arrière comme tu dis !
  • Ce soir, si tu le souhaites, je vais commencer à te préparer… Tu te contenteras de me sucer et me faire gicler sur tes jolis seins… Si j’ai bien compris, il se peut que tu aies un gode avec toi ?
  • Oui… J’en emmène toujours un quand je voyage…
  • Voila… il n’est pas très gros mais il vibre bien !
  • C’est parfait !

Pour la première fois depuis que nous sommes au ski, Mélissa me fait une fellation… et elle est douée…

Je ne vous fais pas un dessin… Mon « service trois pièces » est léché, sucé, absorbé jusqu’au plus profond de sa gorge… jusqu’à ce que je gicle sur sa langue et achève de me répandre abondamment sur ses seins.

En même temps que Mélissa a sorti le gode de sa trousse de toilette, elle y a pris également un tube de gel adoucissant !

  • On dirait que tu as tout prévu !
  • Non pas spécialement… Je suis parfois un peu sèche lorsque je commence à me caresser… et je ne pensais pas que nous pourrions baiser…
  • Ah bon… Voyons comment on va s’y prendre pour habituer ton sphincter à une présence étrangère… Mets-toi à quatre pattes comme si j’allais te prendre en levrette et écartes tes globes fessiers de tes mains.
  • —-.—-.—-.—-.
  • C’est bien… Effectivement tu sembles serrée !
  • —-.—-.—-.—-.
  • Sois sans crainte, je vais y aller doucement… Je vais d’abord introduire du gel avec un doigt que je ferai aller et venir pour que tu t’habitues… ensuite, j’introduirai un second doigt et je masserai ton sphincter pour bien l’ouvrir…

Quelques minutes plus tard…

  • Humm… c’est bon… continues… tu me fais du bien…
  • —-.—-.—-.—-.
  • Vas-y… n’aies pas peur… tu es doux !
  • Bien maintenant, je vais glisser ton gode à la place de mes doigts… il est plein de gel et il va entrer facilement !
  • Oui… prends mon cul avec le gode… je sens que je vais aimer !

J’introduis lentement ce sexe artificiel dont la taille est sensiblement celle du mien lorsque je bande bien ferme…

Je le fais aller et venir quelques minutes avant de mettre les vibrations en route…

Le gode glisse de plus en plus facilement entre les fesses de Mélissa qui se caresse la chatte d’une main.

  • Oh… que c’est bon… j’ai l’impression que je vais aimer… continues… je sens que je vais jouir !
  • Laisse toi aller… Ne te retiens pas…

 

Maintenant c’est Mélissa qui va au devant de la pénétration… Elle bouge de plus en plus, agitant son bassin autour de ce pal qui la pourfend jusqu’au moment où la jouissance l’emporte !

Elle s’écroule a plat ventre sur le lit et savoure ces instants, le gode vibrant encore dans son autre interdit !

  • Waouh… j’ai aimé ! MERCI !
  • De rien ma belle… mais tu vois… çà ne se fait pas à l’arrache… Bien sur, il y a des femmes qui sont tellement ouvertes qu’elles peuvent se faire sodomiser sans pratiquement aucune préparation… Garde le gode en toi pour la nuit… comme cela tes muscles intimes s’habitueront à une présence… Tu pourras acheter un Plug que tu garderas en journée… ce sera très excitant pour toi… faire tes cours à des ados avec ton cul pris…
  • T’es dingue… j’oserais jamais !
  • En attendant… passons une bonne nuit… demain matin, il fera jour !

 

Le lendemain matin, je m’éveille en sentant les fesses de Mélissa contre mon ventre, comme au premier matin de notre séjour…

Je bande à moitié… Nos séances quotidiennes ont eu quelque peu d’effet sur ma libido… mais Mélissa se frotte contre moi quand je retire le gode d’entre ses fesses…

  • Bonjour ma belle ! Tu es en forme ce matin ?
  • Oh oui… Je sais que tu vas m’enculer et que tu seras le premier !

 

Je masturbe mon sexe quelques instants et je le couvre d’un préservatif en expliquant les raisons à Mélissa qui comprend immédiatement cette précaution hygiénique

Avec deux doigts, j’introduis une bonne dose de gel dans son sphincter et j’approche mon sexe.

J’écarte les fesses de Mélissa et je pose mon gland sur l’année plissé… Lentement je pousse vers l’avant… Mon gland est absorbé… Je reste ainsi quelques moments puis je reprends la progression dans le boyau chaud et gluant de ma maîtresse.

Elle n’a rien dit, se contentant de se crisper un peu au début…

Mon sexe est bien serré dans cet antre sombre… dans lequel je commence à le faire aller et venir très lentement et surtout en évitant de sortir…

Soudain, alors que j’ai le gland juste à l’orée de l’anneau, Mélissa se recule et s’empale sur ma bite en m’encourageant :

  • Vas-y… je te sens bien… continue… défonce moi le cul !

Il n’en faut pas plus pour m’encourager…

Je vais de plus en plus vite mais je reste attentif à la montée du plaisir chez ma partenaire qui ondule du bassin pour mieux se sentir prise !

Pour une première sodomie, elle se comporte aussi ardemment que lors d’une baise classique ! C’est vraiment une CHAUDE !

  • Vas-y… je vais venir !

Je n’ai pas besoin de vous dire que je me suis lâché au moment où Mélissa jouissait pour la première fois étant prise par la porte arrière…

  • Oh… que c’était bon ! Je n’aurais jamais cru que je jouirais aussi intensément d’être sodomisée !
  • C’était très fort pour moi aussi… initier à cette pratique une jolie femme comme toi, c’était le pied !
  • On recommencera ?
  • C’est comme tu veux ! Je te montrerai une autre position… là, ce sera à toi de régler la pénétration surtout si tu rencontres un mec mieux pourvu par la nature !
  • Pour l’instant, je savoure ton membre et il me suffit !

Puis nous basculons sur le côté, mon sexe logé entre les fesses de Mélissa qui se trémousse pour mieux me sentir…

D’une main je caresse ses cheveux puis je descends emprisonner un de ses seins et je fais rouler le téton entre mes doigts…

Le surlendemain matin alors que Mélissa me fait l’amour « à la cavalière » je lui propose de lui montrer une autre position pour être sodomisée…

  • Oh…. oui… Nous en avons parlé… montre moi !
  • Laisse-moi me couvrir !
  • Ne me fais pas languir ! J’ai envie de te sentir au plus profond !

Dès que la capote est en place, Mélissa reprend la position initiale et j’orient mon sexe bandé vers son œillet qui palpite doucement.

  • Laisse-toi descendre comme tu le sens… Il n’y a pas de gel… ce sera peut-être un peu plus dur mais c’est toi qui pilote !
  • Oh… le gland est déjà passé !
  • Oui… Prends ton temps !

Et je vois mon sexe disparaitre au fond du rectum de Mélissa qui a rejeté la tête en arrière en poussant un grand soupir.

  • Waouh… je te sens tout au fond…
  • OK… Habitues toi et je te laisse faire à ta guise ! Imagine que tu es sodomisée par un gode collé sur l’angle de ta baignoire…

Et là, Mélissa entreprend de monter et descendre sur ce Priape, allant progressivement de plus en plus vite, balançant ses longs cheveux nattés de droite à gauche… jusqu’à ce que la jouissance nous emporte simultanément…

Le retour s’est passé comme dans un rêve… Nous étions tombés amoureux l’un de l’autre, si bien que le samedi vers minuit quand je me suis arrêté au bas de l’immeuble de Mélissa, elle m’a invité à monter chez elle et selon son expression :

  • J’ai envie que tu m’envoies en l’air ! Viens me baiser !

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