La jouissance de ma petite coquine

Jouissance coquine

 

Le temps s’est comme arrêté…
Je suis accroupi, sur les genoux, tel un fidèle en train de faire une prière. Le temps s’est comme arrêté. Je viens de jouir. Je crois que j’ai fermé les yeux au moment où j’ai laissé le plaisir intense et suprême prendre possession de moi. Je ne sais s’il y a eu un rictus de plaisir ou unequelconque grimace du genre sur mon visage. Peut-être que Constance me le dira… ou peut-être pas ! Tout ce que je sais, c’est j’ai TOUT aimé de ce moment que nous venons de vivre parce que c’est Constance qui m’a fait jouir. J’ai pas boudé mon plaisir. Je l’ai exprimé, et d’ailleurs… les murs vont s’en souvenir, je crois…

Peut-être que nos voisins nous ont entendus aussi… Mais, je m’en fiche. Constance et moi, nous venons de vivre un beau moment, rien qu’à nous, un beau
réveil, et ça, c’est important. Le reste…

Au moment où j’ai senti que j’allais jouir, j’ai quitté la position allongée, confortable, que j’avais depuis le début de ce beau réveil, et je me suis accroupi. D’instinct, Constance, elle aussi, savait que j’étais sur le point de jouir. Elle seule sait me faire jouir, et… j’aime, il faut dire, jouir pour elle, sur elle ou… en elle. C’est elle qui s’est alors allongée sur le dos et qui m’a présenté ses
deux petits seins menus. Ses tétons pointaient encore et toujours. Pour les avoir touchés, caressés, léchés, sucés, titillés, un peu plus tôt, je savais qu’ils étaient durs. Ses deux petits seins tout mignons, j’en… suis… fou.

Constance s’était confortablement allongée, sur le dos. Elle adore être dans notre lit, pour dormir ou… pour faire l’amour. Nue, belle comme une Vénus, elle était d’une sensualité. Dans ces moments-là, c’est ELLE et pas une autre, encore plus. Nue, belle comme une Vénus, je voulais la remercier à ma façon, dans ce contexte. Dans ces moments-là, j’aime jouir en étant tout contre elle et en la regardant. Ce sont des moments qui sont précieux, on le sait bien, elle comme moi. Ne pas penser à ce qu’on n’a pas fait hier. Ne pas penser à ce qui pourrait se passer demain. Il n’y a que ce moment qui compte, là, maintenant, rien que tous les deux, au lit, en toute intimité.

Et en ce moment même, je suis en train de savourer la jouissance que ma petite coquine de compagne m’a offerte. J’essaie, tant bien que mal, de reprendre mon second souffle. Il faut dire que plus Constance me branlait vite, dans sa main, mon cœur, lui aussi, battait à une fréquence… Je suis encore accroupi, et l’espace d’un instant, je réalise que je dois peut-être avoir un sourire béat aux lèvres : Constance était dans la même position, toute à l’heure, quand elle a enlevé sa nuisette et qu’elle était à demi-nue. Elle m’avait demandé de jouir d’elle, toute entière… Ça, tout ça, ce sont des souvenirs sans numérique ni pellicule. A tout jamais.

Ces moments-là permettent à deux personnes, folles amoureuses l’une de l’autre, de renforcer, à la fois, leur amour et leur désir. Moi, en tout cas, c’est ce que je pense. Et plus particulièrement en ce moment même : j’aime et je désire Constance, plus que tout.
Elle a su que j’allais jouir car j’ai changé de position. Un peu plus tôt, elle m’avait dit, comme ça, dans le feu de l’action, qu’elle avait envie que je lui jouisse sur les seins… J’aurais très bien pu rester dans la même position et que Constance, au final, me pompe jusqu’à avoir mon sperme en bouche. Ou bien… Je serais resté allongé et Constance m’aurait masturbé…

Le sperme aurait giclé comme la lave rouge et chaude d’un volcan. Mon pubis… le bout de mon sexe… les draps… la main de Constance s’en seraient souvenus… Mais non. Constance a continué de me branler d’une main. Elle tenait ma queue d’une poigne de fer, et mon membre en était tout simplement dur, raide. La pénétration n’avait pas du tout été à l’ordre du jour. Mais je pense que si j’avais pénétré Constance et que si elle s’était ensuite empalée sur mon membre, au-dessus de moi, comme elle aime le faire, je pense et j’espère qu’elle y aurait pris bien du plaisir.

Tandis que là… sa main coulissait frénétiquement mais parfaitement sur mon pénis alors que le gland était comme braqué sur sa poitrine menue. A mes yeux, le message était clair car j’avais connaissance à présent du désir de Constance.

Mes bruits de plaisir augmentaient, non seulement en fréquence, mais aussi en niveau sonore et en intensité. Je reste convaincu que nos voisins du dessus m’ont entendu exprimer pleinement mon plaisir parce que l’isolation phonique de notre appartement, situé rue Foch, au Havre, n’est pas terrible et laisse à désirer. Pourtant, et pour être honnête, nous nous en fichons. C’est bien notre premier nid d’amour à nous, et nous l’aimons tel qu’il est. Il n’y a que ces moments qui comptent. Le reste…

Quand j’ai senti que j’allais jouir et que mon sperme allait gicler d’une seconde à l’autre, j’ai  lâché prise. Tous les petits tracas de la vie quotidienne n’avaient alors plus aucune importance. Il n’était plus question que de Constance et de moi. Ni plus… ni moins.
Constance avait orienté le bout de mon sexe en direction de son 85B, et le sperme a jailli de mon méat. Quelques jets, plutôt incolores, en sont sorti. Ils y ont trouvé la volupté des deux petits seins tout mignons de ma belle petite coquine.

Constance était belle, ornée de ma semence. Elle en avait sur les seins surtout, mais aussi un tout petit peu sur le cou et sur le menton.

Elle en récolta un infime échantillon sur le bout d’un doigt et le goûta avec amour et délectation. Et pendant qu’elle se délectait goulûment du peu de sperme qu’elle avait pu récolter et qu’elle léchait et suçait son doigt, elle avait un beau sourire aux lèvres et elle me souriait. Ça, c’était un beau moment de complicité. Constance aime que je jouisse régulièrement sur elle. Ça, c’est
Constance, et ça n’appartient qu’à elle et moi.

C’était digne d’un beau réveil… NON ! C’ÉTAIT un beau réveil ! Deux amoureux qui ne font rien de mal et qui ne font que renforcer leur amour et leur désir. C’est tout ce qui compte. Le reste…

Constance s’est massée les seins avec le sperme qu’elle avait sur eux, et c’était tel un lait hydratant pour embellir son corps. Elle me souriait pendant qu’elle se massait les seins, qu’elle les pétrissait et qu’elle les empaumait. Je lui ai souri en retour. C’était elle et moi, sur l’oreiller. Constance est magnifique, et je l’aime.

Je me suis redressé et je me suis rapproché de ma chérie afin de pouvoir être au-dessus d’elle. Je voulais la regarder, les yeux dans les yeux, l’embrasser, pour lui montrer et lui dire combien je l’aime et combien je la remercie de ce beau réveil qu’elle m’a offert, riche en tendresse, en amour… et en sensualité. De plus, à travers ce beau réveil, je réalise maintenant à quel point Constance est devenue un femme différente depuis la licence pro et surtout depuis que notre relation est née.

Si on m’avait dit, en licence pro, un jour, que Constance serait l’amour de ma vie et qu’elle serait une petite coquine dans l’intimité, eh bien… j’aurais ri au nez de la personne qui m’aurait dit ça. Froide et un poil hautaine au premier abord à cette époque-là, Constance cachait beaucoup de choses en profondeur, mais le secret était qu’il fallait la prendre comme elle était et surtout être patient avant qu’elle vous accorde son écoute, son respect et son attention. C’était aussi simple que ça. C’était la clé qui permettait d’ouvrir sa boîte de Pandore…

Je me suis placé au-dessus d’elle, et je l’ai embrassée tout en la surplombant. Même avec les années qui passent, c’est toujours aussi bon de goûter à ses putains de lèvres roses… et vanillées. Même en dépit du temps qui défile, j’aime toujours autant que l’on fasse l’amour. On s’efforce, tant bien que mal, de varier les possibilités : elle sur moi… moi sur elle… moi derrière elle… en
cuillères… en 69 ; dans notre lit… sous la douche… sur le canapé… dans la cuisine ; aux premières douceurs du matin… par téléphone… par SMS… le soir… en pleine nuit.

Même si ce n’est pas tout le temps facile, on s’efforce, du mieux qu’on peut, à repousser la routine et les limites. Le sexe avec Constance est toujours aussi bon… délicieux… jouissif, même avec les années. C’est comme le vin : ça se bonifie avec le temps. Et avec le temps, ma belle Constance me rend toujours aussi fou.

Je vous jure !

Je l’ai regardée droit dans les yeux, lui ai souri et voulais lui faire comprendre que j’étais bien, là, tout contre elle. Je veillais tout de même à ne pas lui faire mal puisque j’étais presque allongé sur elle. Constance a pour habitude de me dire que je ne lui fais pas de mal, et je la crois alors. Mais, j’ai toujours peur. Ça reste ma hantise. C’est normal, non ? Comme je lui dis souvent, son bonheur et son bien-être restent ma priorité.

Nous nous sommes souri. Puis, se rappelant que ses parents nous attendaient pour déjeuner et que c’était «malheureusement» inévitable, elle chercha à se redresser. D’instinct, je lui ai fait de la place pour qu’elle se redresse.
– Heu… mon chéri… Moi aussi, je suis comme toi, tu sais ? J’aimerais bien rester au lit toute la journée, et qu’on fasse l’amour n’importe quand, quand bon nous semble. Mais… mes parents… ils…

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