Comment les spectacles de cam ont sauvé mon couple…

Très chère Amandine, je prends enfin le temps (merci le confinement) de t ‘écrire pour partager avec toi et je l’espère avec les très nombreux internautes d’histoires libertines. Je m’appelle Anne-Claire, j’ai 42 ans, je suis secrétaire de direction dans un grand groupe du CAC40. Je suis mariée depuis 7 ans et sans enfants. Mon métier m’impose d’être en permanence en tailleur (jupe ou pantalon) et d’être impeccablement coiffée et maquillée. Physiquement comment je suis ? Disons que je plais aux hommes. Je suis régulièrement sollicitée et draguée. Mais je suis mariée, fidèle et surtout très amoureuse de mon petit mari chéri. Même si nous avons traversé une grave crise qui a failli mettre un terme à notre relation. 

Tu dois t’en douter, mon métier est très prenant. Je gagne très bien ma vie mais je ne compte pas mes heures. Et il m’arrive de rentrer très tard. Je vais l’avouer mais je suis parfois un vrai fantôme à l’appartement. Et je néglige mon chéri. Je pensais qu’il le prenait bien puisque j’étais fidèle et surtout ça lui laissait le temps de vivre sa vie (travailler, voir ses amis, regarder les matchs…). Mais il n’en est rien. Il a comme chacun d’entre nous (moi y compris) besoin de présence et d’attention.

Heureusement pour moi, il est lui aussi fidèle et très amoureux. J’ai d’ailleurs appris plus tard qu’une voisine et une collègue lui avaient fait du rentre dedans. Je me suis fais un plaisir d’aller leur sonner les cloches. Je me rends compte que je m’éloigne…

Un soir, en rentrant à 1 heure du matin, mon chéri dormait et il avait laissé l’ordinateur allumé. En essayant de l’éteindre, le mode « veille » s’est désactivé. Et là, stupéfaction ! La page d’un site de cam s’est affichée, il s’agisssait de streamate.com. Mon homme avait passé la soirée avec une fille virtuellement. Et en consultant l’historique web de l’ordinateur, ce n’était pas la première fois.

 

J’étais effondrée. Je ne savais comment réagir. Après une semaine de réflexion, j’ai décidé de prendre le taureau par les cornes…

Le dimanche suivant, je me suis levée à l’aube. J’ai allumé l’ordi, noté l’url du site de cam et j’ai pris mon courage à 2 mains, je m’y suis inscrite comme animatrice liveshow.

Le lendemain, lundi, j’ai posé ma journée et j’ai loué une chambre d’hôtel en dayuse.  Une fois à l’intérieur, j’ai pris une bonne douche. Puis je me suis maquillée, et surtout j’ai enfilé mes dessous les plus sexy : une guêpière en dentelle Aubade, porte-jarretelles, bas couture et escarpins Louboutin de « seulement » 12 cm. Je suis incapable d’expliquer ce qui m’arrivait. J’étais en transe. Je me suis allongée sur le lit, j’ai allumé mon pc. Je me suis ensuite connectée en tant que camgirl. J’avoue que les premières minutes furent déroutantes et difficiles. J’ai d’ailleurs éteint plusieurs fois. Mais une voix intérieure m’a fait rallumer à chaque fois.

 

Très vite, de nombreux anonymes m’ont rejoint sur ma room. Leurs compliments et leurs encouragements m’ont mis à l’aise et je me suis laissée aller. J’ai adoré exécuter leurs demandes et échanger avec eux. Le fait de m’exhiber sans retenue m’a énormément excitée. Jamais mon sexe n’avait été aussi trempé. Au bout de 2h de jeux avec de parfaits inconnus, j’ai contacté deux animatrices pour avoir de (précieux conseils). Elles ont d’ailleurs gentiment accepté de répondre à mes questions et m’ont été d’une grande aide.

J’ai envoyé un sms à mon homme avec l’url de ma room et ces quelques mots « Tais-toi et profites ». Il s’est connecté et je lui ai offert un spectacle torride. Le pauvre était tout en sueur A la fin, je lui ai envoyé l’adresse de l’hôtel. Et nous avons fait l’amour comme jamais…

Depuis, je m’investis plus dans notre vie de couple… Et je continue les cams, en duo…

Ce site est réservé à un public majeur et averti, il propose un contenu à caractère érotique à des personnes âgées de plus de 18 ans. En cliquant sur "ENTRER" vous certifiez avoir pris connaissance des obligations suivantes : Etre majeur selon les lois françaises et que ces lois vous autorisent à accéder à ce service. A ne pas faire connaître ce service à des mineurs, sous peine de sanctions pénales. A ne pas diffuser le contenu de ce service qui est la propriété de l'éditeur. A ne pas poursuivre l'éditeur de ce service pour toute action judiciaire