La vie sexuelle de Bernadette, 39 ans : plaisirs saphiques

plaisirs saphiques

Depuis plusieurs semaines, Véronique, une jeune stagiaire effectue un stage de trois mois dans le cadre de son B.T.S. et elle passe d’un service à l’autre. En l’absence du D.R.H., je l’avais reçue lors de son entretien initial et je l’avais croisée à plusieurs reprises au détour d’un couloir ou d’un trajet en ascenseur. Nous échangions quelques mots dans un salut poli et nous en restions là.

Autant je suis brune, autant Véronique est blonde comme les blés. Aussi grande que moi, elle a un visage fin encadré par des cheveux coupés en carré court, des yeux gris foncés, un nez droit et mince et une petite bouche à peine fardée. Sa silhouette mince avec une poitrine très menue et une taille étroite lui donnent une allure androgyne.

Lundi passé, je m’apprête à quitter le bureau en fin de journée lorsque le téléphone sonne. C’est un cadre en déplacement à l’étranger qui cherche à joindre son patron. Tout le monde est déjà parti et il se rabat sur moi pour traiter son problème. La porte du bureau est entrouverte et je vois le minois de la stagiaire s’y encadrer. Ne sachant pas ce qu’elle veut et toujours occupée avec mon correspondant, je lui fais signe d’entrer. Là, elle me fait comprendre par gestes qu’elle souhaite utiliser mon cabinet de toilette. Quand je termine ma communication, je repense soudain qu’un de mes jouets est resté sur le lave mains. Au même moment Véronique sort du cabinet de toilette en tenant mon Plug entre ses doigts et me dit d’un air moqueur :

  • Oh ! Madame Durant ! Quelle surprise ! Seriez-vous une coquine sous vos airs sérieux ?

En quelques secondes je me sens pâlir puis rougir surtout quand elle s’approche de moi et m’attire dans ses bras pour m’enlacer et chercher mes lèvres. Je suis tellement surprise que je ne résiste pas à cet assaut et à la main qui part explorer le devant de ma poitrine pour débusquer un sein dans mon soutien gorge. Je suis complètement désemparée ! Je suis sans réaction quand la jeune stagiaire déboutonne ma veste et mon corsage et fait sauter l’agrafe de mon soutif pour venir cueillir un de mes tétons entre ses lèvres.

Je devrais la repousser, fuir, mais je suis sans volonté. Maintenant j’ai chaud, je sens mon sexe envahi par une douce chaleur et comme une sorte de poids dans mon ventre qui l’habite lorsque je vais jouir. Comment à bientôt 39 ans, femme comblée par un amant doué, je peux commencer à éprouver du plaisir pour la première fois sous les caresses d’une autre femme qui s’enhardit de plus en plus au point que mon buste est nu. Ma veste, mon chemisier, mon soutien gorge, tout n’est qu’un tas de chiffons à nos pieds.

Je réagis de plus en plus faiblement ! Je me laisse faire ! Cette coquine va me conduire sur les chemins d’une relation saphique… Mais elle n’oublie pas que nous pouvons être surprises aussi va t’elle verrouiller la porte du bureau. Avant de me reprendre dans ses bras, elle ôte son sweatshirt et je découvre sa poitrine si menue qu’elle ressemble plus à celle d’une adolescente qu’à celle d’une jeune femme de 21 ans. Elle ne porte même pas de soutient gorge ! Véronique se colle à moi, se frotte contre moi, ses petits seins tout juste à la même hauteur que les miens les font rouler pendant que nous échangeons des baisers à en perdre le souffle. Entre mes cuisses qui s’ouvrent, une main indiscrète remonte sous ma jupe et vient masser mon Mont de Vénus et ma chatte ruissèle de plus en plus.

Véronique me repousse de telle sorte que mes fesses se collent contre le plan de travail de mon bureau puis elle s’agenouille devant moi, remonte ma jupe au dessus de la taille, fait glisser mon string totalement humide et pose ses lèvres sur mon clitoris tout bandé. Elle le prend dans sa bouche, le mordille, le suce avant de descendre plus bas et d’ouvrir ma fente avec sa langue pour la darder ensuite à l’entrée de ma vulve.

Waouh ! Que c’est bon ! Je n’aurais jamais imaginé que de recevoir un cunnilingus de la part d’une femme, c’était presque meilleur que la même caresse prodiguée par un homme. Etait-ce quelque part le fait de braver les convenances ? En tout cas j’apprécie au point qu’une vague de plaisir déferle en moi pendant que mon amante lape la cyprine qui coule entre mes lèvres intimes. Certainement pour me déculpabiliser, Véronique me dit doucement :

  • N’ayez pas honte ! Depuis notre entretien, j’ai envie de vous, de vous faire l’amour. Je n’ai jamais connu d’homme mais, sans me vanter, j’ai déjà connu pas mal de femmes de tous âges auxquelles j’ai donné beaucoup de plaisir. Certaines me l’ont rendu.

Je ne sais pas trop comment accueillir cet aveu mais je relève Véronique pour la prendre dans mes bras et l’embrasser, un peu comme une jeune amie que je consolerais. Je retrouve sur ses lèvres mon odeur et le goût de ma cyprine que j’ai découvert lorsqu’après avoir fait l’amour avec Jean-Louis, il m’arrive de le prendre en bouche pour qu’il bande à nouveau pour me baiser une seconde fois. Devant cet aveu, je lui dis :

  • Je n’en doute pas ! Si tu veux, je vais te rendre ta caresse mais je ne sais pas comment faire ! Tu va me guider ?

Le visage de Véronique s’illumine d’un grand sourire quand susurre :

  • Oh oui ! J’ai envie de ta langue sur ma chatte ! Je suis déjà bien mouillée !

Quelques jours après, je m’étonne encore de la facilité avec laquelle Véronique m’a entrainée dans les plaisirs saphiques. Nous achevons de nous déshabiller mutuellement en échangeant baisers et caresses et lorsque nous sommes nues toutes les deux, Véronique s’allonge sur le dos en travers de mon bureau, cuisses ouvertes, les jambes pendant et le sexe offert à ma bouche avide :

  • Viens, pose tes lèvres sur mon sexe et joue avec ta langue comme si tu te faisais du bien avec un doigt…… Fais courir la pointe jusqu’au clitoris et suce le comme si tu suçais un bonbon…… Ensuite tu feras des allers-retours entre mes lèvres jusqu’à l’entrée de ma chatte.

Comment puis-je obéir ainsi à cette jeune femme alors que j’ai un poste à responsabilité dans la Société ? Est-ce que Jean-Louis a ouvert à ce point les vannes de ma libido pour que je me livre ainsi sans pudeur aux caresses d’une autre femme à laquelle je vais les rendre ? Serai-je désormais aussi soumise aux caprices de mn corps ? En tout cas, je suis tellement excitée que je ne réfléchis plus, je me concentre sur ce que je fais à Véronique et je suis sans rechigner les ordres qu’elle me donne emplissant mes narines de son odeur un peu épicée.

Quand je lève les yeux, je vois son ventre plat qui palpite, elle a les mains posées sur ses seins et les passe doucement pour faire rouler les tétons dans sa paume. Son souffle se précipite au fur et à mesure que ma caresse intime fait monter son plaisir. Sa tête va de gauche à droite et inversement. Véronique m’encourage :

  • C’est bien !             C’est bon !                  Tu va me faire jouir !                   

Et effectivement ma caresse porte ses fruits. Véronique pousse un feulement rauque puis une série de cris aigus quand elle jouit, enserrant ma tête entre ses cuisses. Je me relève pour m’asseoir dans mon fauteuil pour réfléchir, récupérer un peu de mes émotions et Véronique vient se mettre en travers de mes cuisses et m’embrasse à nouveau à bouche que veux-tu :

  • Tu vois, ce n’est pas difficile ! Dès la première fois tu m’as fait grimper aux rideaux !…… Es-tu bien sûre que ce soit la première fois que tu donnes du plaisir à une autre femme ?…… Ou alors, tu as l’habitude de te masturber !

Dans un souffle, je concède :

  • Oh oui, cela m’arrive, d’ailleurs j’ai ce qu’il faut, caché au fond d’un tiroir.

Véronique me demande de lui montrer mes jouets. Et là, sans aucune pudeur ni réserve, je sors les deux godes. Le premier est en plastique un peu rigide dont l’extrémité est pourvue d’un beau gland tout rond. Lorsque Jean-Louis et moi nous l’avons choisi dans un sex-shop, nous l’avons sélectionné parce qu’il ressemble beaucoup à sa queue. Le second est un peu plus long et plus fin avec un gland pointu qui s’évase doucement jusqu’au bourrelet. J’explique à mon amante comment le choix s’est fait, expliquant que le second tout comme le Plug sont destinés à assouplir les muscles de mon anneau serré pour que Jean-Louis arrive à me sodomiser.

Ce soir-là Véronique et moi, nous quittons la Société avec beaucoup de retard sur un horaire habituel. Nous avons fait l’amour en 6 9, vautrées sur la moquette, Véronique au dessus de moi. Le plaisir m’a terrassé une seconde fois quand je sentais sa langue parcourir ma vulve et un de mes godes aller et venir dans ma chatte… alors que mes mains posées sur ses fesses, je léchais ses orifices, passant de l’entrée de sa vulve et celle de son anus.

Bien plus tard dans la soirée quand je me couche près de Jean-Louis et qu’il me demande comment s’est passée ma journée, je lui raconte ce que j’ai vécu avec Véronique. Je constate alors que l’un et l’autre, nous sommes excités à cette évocation. J’ai dans mon ventre cette boule lourde et chaude que je connais bien désormais quand l’envie de faire l’amour me prend et le sexe de Jean-Louis est dressé comme un pic, dur comme du bois et suintant… Lorsque cet estoc me pénètre, je m’ouvre à lui mais dans ma tête, je ne cesse de penser à Véronique.

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