« Depuis plusieurs mois déjà, je suis l’amant de M, mariée et mère. On se voit régulièrement, en particulier le weekend. M. m’a avoué qu’elle aime toujours son mari, mais niveau sexe, passion, désir et autres, elle se sent plus épanouie avec moi: je dois avouer que c’est très flatteur. D’ailleurs, il le sait et pour lui, ce qui compte, c’est le bonheur de sa femme.
Alors que nous organisons nos retrouvailles, M. m’a fait une confidence: elle aimerait que je la féconde lors de nos plans culs. Depuis son mari, elle n’a jamais vécu ça: à vrai dire, elle a jamais voulu ça avec lui car elle ne se sentait pas prête; mais avec moi, elle se sent beaucoup plus libre. Au début, j’étais surpris, mais au final, j’ai fini par sourire et accepter.
Je lui ai proposé si ça lui dit qu’on se retrouve à l’hôtel, mais M. m’a fait une bien meilleure proposition: qu’on passe le weekend ensemble au domicile conjugal, pendant que le mari emmène enfants ailleurs. Belle surprise: décidément, j’ai beaucoup de chances.
Je rejoins M. au domicile conjugal, accompagné d’un bouquet de fleurs: elle m’accueille en robe rouge passion, bas et talons noirs, une bouteille de champagne à la main; et bon sang, qu’elle est belle. On se saute dans les bras et on s’embrasse langoureusement: quel extase.
D’abord, nous nous posons sur le canapé, en train de déguster le champagne, et nous discutons un peu de nos retrouvailles, de ce moment qu’elle désire tant: un moment, je pensais qu’elle se sentirait stressée à l’idée de recevoir sa première fécondation, mais en la voyant avec le sourire, j’ai compris qu’elle en a envie et que ce weekend serait inoubliable.
Après s’être caressés et embrassés passionnément, M. et moi partons au lit conjugal: hummmmmmmmmmm je sens que je vais passer un magnifique moment. Nous continuons à s’embrasser, nous nous déshabillons, M. se met à genoux et me suce intensément (je me retiens pour tout réserver pour la fin) avant que j’allonge sur le lit pour lui faire un cunnilingus de champion.
Puis, pour la première fois depuis notre relation, je la baise sans capote: je sens la chaleur mouillante de son minou et elle apprécie bien, la petite coquine. Alors, je commence mes va-et-viens doucement, puis fougueusement, dans toutes les positions; d’ailleurs, comme M. raffole de la sodomie, je la sodomise également, sans capote: bien sûr, il faut beaucoup de lubrifiant pour réussir à la pénétrer, mais bon sang, c’est le pied et cette petite salope raffole encore et encore.
M. jouit tellement qu’elle mouille et me hurle de désir: « Oui ! Baises-moi. Je suis ta chienne. Oh oui, chérie ! Fécondes-moi ! Je suis ta femme ce weekend, alors fécondes-moi, mon chéri ! » Je ne peux qu’être comblé. Je la baise en missionnaire, tout en l’embrassant, pour que le sperme arrive bien au chaud dans son minou; alors que je continue à la pénétrer fougueusement, je finis par jouir dans sa chatte et je la féconde: un instant magique. Elle me remercie, nous nous embrassons, tandis que je reste en missionnaire dans elle, pour tout laisser couler. Une fois que ça a coulé, je ressors de son minou et je vois tout le sperme sortir: M. regarde la scène, heureuse, me regarde avec le sourire et me dit: « Merci. Hummmmm c’était tellement bon et tu baises tellement mieux que mon mari. Merci, merci ! »
Je me rallonge sur le lit et nous tombons dans les bras. M. est blottie contre moi, me tient la main et me prononce ces paroles: « Je m’amuse tellement bien avec toi. A partir de maintenant, tu seras le seul qui aura le droit de me féconder. Lui, je l’aime, mais je te veux toi pour ces instants d’imprégnation libertin et coquin ! »
Cela me fait plaisir. Nous nous embrassons une dernière fois et nous nous endormons ensemble, dans les bras, avant que je recommence à la féconder à nouveau le lendemain, sous la douche. »
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